élève Superwonder au piquet !!! je trouve mon martinet et je vais te punir
bon c'est vrai qu'il parrait que Cobra c'est pas si top ...mais y'a Franco merde .. le seul homme avec qui je pourrais coucher ...
Heu en fait y'a Ben Affleck aussi
là-dessus, et j'ai beau apprécier Castellari, faut avouer que y'a pas grand chose à défendre, pour un peu, on pourrait penser que c'est Lamberto Bava qui réalise!
Ce film est tout pourri et ultra chiant. J'ai honte d'aimer Castellari parfois c'est vrai que le karatéka c'est quand même l'hallu. Même la pioche dans la poitrine à la fin ne rachète pas le film. Caca !!
Mes notes pour le film
Film: 2 Maurizio Merli sur 6
J'aime Franco Nero même si là il est habillé comme un nase
Action: 2 Tomas Milian sur 6
Y'a de l'action dans ce film ? Si un peu
Nichon: 1 Barbara Bouchet sur 6
Mouais ... juste pour Sybil
Superfly a écrit :Ce film est tout pourri et ultra chiant. J'ai honte d'aimer Castellari parfois c'est vrai que le karatéka c'est quand même l'hallu. Même la pioche dans la poitrine à la fin ne rachète pas le film. Caca !!
Superfly je t'aime ce film est une vraie honte et une grosse tache dans la filmo déjà pas reluisante de Castellari.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Bon bein je fais un copié collé de ma critique sur le Mad Movies....au moins je l'avoue:
Attention ne pas confondre avec le film de Stallone, ça n'a rien à voir.
Là je parle d'un poliziesco de Castellari. Franco Nero joue le rôle d'un exagent du narcotique déchu (il a fait 3 ans de prison à cause d'accusations de corruptions)
Il est rappelé par son ex patron pour mettre fin aux agissements d'un traffiquant de drogue nommé Kandisky, personne qu'il connait bien car c'est à cause de lui qu'il s'est retrouvé en prison donc....vengeance!
Depuis peu je recherche des polars ritals (environ 7 ou 8 mois, ça m'a pris comme ça) j'en ai que 4 malheureusement.
J'ai trouvé cette vhs pour 1 euro seulement, j'étais bien content.
Je n'ai vu que 4 polars ritals (bon y'avait aussi Assaut Sur La Ville de Caïano mais j'étais tout petit donc je me souviens de rien) mais j'ai relevé une certaines dimension parodique dans ce Cobra, ceci dit c'est quand même Franco Nero qui joue le rôle du privé (il s'est reconverti comme privé après sa sortie de prison)
Mais rien à faire on y croit pas, c'est ptète du à la VF, j'en sais rien mais j'ai trouvé son personnage assez mou ou alors il en faisait trop.
Je sais c'est bizarre et contradictoire mais c'est comme ça.
Le film n'est vraiment pas palpitant et dès fois sombre dans le ridicule (les ralentis peu appropriés, le personnage de Nero pas terrible, pas super bien écrit)
Ce que j'ai bien aimé dans le film c'est que visiblement Nero a fait ses propres cascades même si elles ne présentaient pas de gros risques visibles.
J'ai surtout aimé la musique vraiment pas mal du tout et les 15 dernières minutes qui dénotent avec le reste du métrage.
Elles sont beaucoup mordantes et dures. Je vais pas vous spoiler mais franchement c'est bon.
Donc pour la zik et les 15 dernières minutes je donne 3/6
Juste pour ce thread je viens de revoir ma et VHS et le DVD à la suite... afin d'apporter un peu de douceur dans les propos de SWS et ne pas rester sur les inepties de monsieur 13..
Il giorno del cobra tardivement sorti en salles sous le titre Cobra en 1985 n'est certes pas un polar violent, il est même particulièrement gentil mais il n'est pas aussi déplaisant que ca.
Le polizesco est en bout de course, Cobra en est un des derniers du genre mais il a son charme tout minime soit il.
S'il souffre d'un scénario parfois un peu confus, il se laisse voir comme un simple policier qui se hausse au niveau d'un simple épisode de série TV policière quelconque.
Franco Nero ne semble guère concerné par l'histoire, il traine sa dégaine nonchalemment tout au long du film, machouille son chewing gum, court beaucoup et ne se bat guère, voilà qui peut decevoir ses fans mais il y a dans Cobra ce petit quelque chose qui se laisse voir.
Une photo plutot sympathique, une BO disco plutot gentillette et quelques scénes digne d'interet dont celle où Franco Nero se fait joliment battre par Liciana Ventini, transformée soudainement en furie.
C'est peut être ridicule mais le ridicule ici est plutot agréable.
Restent quelques séquences totalement mièvres qui font retomber le film d'autant plus qu'elles ne fonctionnent pas du tout ici: Nero et son fils notamment, digne d'une larmoierie parfumée eau de rose, avec d'enervants ralentis de plus, la relation ne fonctionnant pas du tout de surcroit tant Nero semble impassible.. et ce coté récurrent au genre où les méchants sont forcement slaves, juifs ou homosexuels, homosexuels invertis bien sur qui peut déplaire.
Aux cotés de la tornade Ventini, la pneumatique Danning fort mal employée et peu mise en valeur, un plan de nu lointain et une moumoute hallucinante, sa mort elle aussi sublimée dans un superbe ralenti qui rattrape cette decevante mise de coté. Et petit plaisir personnel d'Eric une sale, Sasha d'Arc, qui étalait sa nudité sans vergogne dans le cannibale I padroni del mondo de Cavallone, Caligula la veritable histoire et L'enfer vert.
Mou du genou certainement, sans grand interet c'est vrai, polizesco de bout de course d'un genre alors moribond surement mais une gentille distraction néanmoins.. ni plus ni moins mais à ne pas regarder aprés une nuit blanche, c'est evident ou pour découvrir le genre, c'est encore plus evident.
Je pourrais vous tuer mille fois jusqu'aux limites de l'éternité si l'éternité possédait des limites.
pour les Castellarinomanes, cet infame machin informe sort en z1 aux USA chez Televista. Specs inconnues au bataillon, mais jaquette hideuse. Entre celle-là, Concorde Affair et Diabolically Yours, c'est le pompon
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Castellari est loin d'être mon bisseux rital préféré. Ses films sont un peu mou, sans trop de personnalité - sauf si l'emploi abusif du ralenti peut être considéré comme un trait de personnalité - mais il a quand même quelques titres sympa à son actif (Sette winchester per un massacro, Il cittadino si ribella, Les Guerriers du Bronx 2). Ce Cobra n'en fait pas parti mais il n'est pas irregardable non plus. La progression de l'intrigue (co-écrite par Aldo Lado) est assez laborieuse, l'ensemble manque d'unité, ça démarre tranquillou dans la bonne humeur, on se dit qu'on va se taper un petit polar décontracte, presque satirique, puis ça commence à se prendre au sérieux avec une ambiance plus sombre et de grosses séquences mélo entre Nero et son rejeton, pour finir dans le polar hard boiled où Nero semble avoir obtenu carte blanche des forces de l'ordre locales pour flinguer tout le monde sans craindre d'être inquiété ultérieurement.
Je retiens tout de même une jolie séquence de course-poursuite à pattes dans le port de Genova et la bien débilos - mais fallait l'oser - scène de combat sur fond de 'zique disco entre un Nero (légitimement) ahuri et notre karatéka travelo en collant noir.