Bon dieu ce que c'est con. Et long. Et chiant. Greydon Clarke n'a positivement aucun talent en vue ici, hormis celui de développer un pitch à la connerie monumentale.
Il faut subir 30 minutes de cheerleading, de semblant de match de football américian sur la plage avec les garçons qui se prennent une raclée, rythmé par une musique disco venue d'ailleurs. Ensuite, les cheerleaders partent en ballade, mais pour etre conduites vers un autel sacrificel ou le vieux cochon de concierge de l'école veut violer la blonde. Oui mais non. Car la blonde, ben, elle a le pouvoir. lequel? On ne sait pas! Mais elle l'a. Alors elles s'enfueitn chez le shériff du coin (John Ireland) quiest en fait le maître de cérémonie satanique. Avec sa femme (Yvonne De Carlo). Et un pretre (Sydney Chaplin).
Et là , ça parle beaucoup. Et Yvonne voit que la blonde a le pouvoir/ Elle a peur. les greluches s'échappent. Il faut les voir courir dans la pampa avec les chaussures à pompons bleus et blanc. Elles ont appris à courir chez Justin Bridoux, c'est horrible.
Pis elles sont faites prisonnières. >pis elles s'échappet encore. elles courrent. la prof restée en carafe n'arrive pas à sauter du toit de la maison. Ell reste suspendue à la gouttière A 40 CM DU SOL; Et cette conne hurle qu'elle "ne peut pas le faire". PUTAIN 40 CM

On peut se dire à la rigueur, il y aura bien du nichon et du gore. ben non. Un flashage rapide de seins blancs californiens et basta. Gore = zilch, nada, rien.
Au suivant.
Ah oui, le pouvoir. ben c'est celui de déclencher la machine à vent pour faire du vent dans les cheveux lors de la cérémonie - et à utiliser un filtre rouge


Et au final, les cheerleaders prennent le controle du monde grâce à Satan, en donannt des ordres aux footballeurs blessés de se relever et d'aller gagner

Un concept ultra-con aurait pu donner un truc culte, outré. il n'en est rien ici. Greydon Clarke ne sait rien faire avec son idée. il n'y a aucun script. le film fait 92 très longues minutes qui auraient très bien pu se réduire à 30. Yvonne De Carlo invoque Satan pendant 5 MINUTES ENTIERES à répéter la même phrase. Jamais 5 minutes ne l'avaient semblé une éternité. Des plzns fixes sur la clique de satanistes qui marchent à la campagne qui durent pas loin de 45 secondes. ils marchent à l'écran, c'est tout.
Nul,nul,nul que j'ai trouvé, nul,nul,nul. Deux dialogues droles entre John Ireland et Sydney Chaplin, perdus, hagards au milieu d'un ocean de vacuité. Nul,nul,nul.
Greydon Clarke, aussi
