The Brave One - Neil Jordan (2007)

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dario carpenter
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Message par dario carpenter »

Superwonderscope a écrit :une de mes amies vient de voir le film dans une projo test à L.A et , d'après ce qu'elle vient de me dire de manière assez désolée, il s'agit malheureusement bien d'une version féminine du Justicier dans la Ville.
et bien ton amie n'as pas tout à fait tort. :!: :lol:
Dragonball
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Message par Dragonball »

dario carpenter a écrit :
Superwonderscope a écrit :une de mes amies vient de voir le film dans une projo test à L.A et , d'après ce qu'elle vient de me dire de manière assez désolée, il s'agit malheureusement bien d'une version féminine du Justicier dans la Ville.
et bien ton amie n'as pas tout à fait tort. :!: :lol:
En même temps si c'est une des filles dont parle SWS sur le thread de Death Proof .......
mercredi
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Message par mercredi »

Film très décevant pour ma part. Le début laissait pourtant préfigurer sinon un chef d'oeuvre du moins un excellent métrage. Magnifiquement mise en scène et sublimée par une superbe photographie, la peinture urbaine s'éloignait des poncifs du genre - déliquescence insidieuse du décor via les incontournables motifs de l'humidité, de la fissure (ect ...) ainsi que la présence d'une "faune" peu recommandable - pour préférer la stricte métaphore architecturale. Suivant la tradition des "ruines romantiques", le réalisateur présente un paysage dévisagé par d'incessants travaux (récurrence des grues, pioches...) lesquels reflètent les troubles psychologiques de l'héroine. D'abord emprunte d'une simple nostalgie (optique romantique), la perception du lieu se fait plus douloureuse, voire quasiment morbide (optique gothique), au fil de l'histoire. Miroir de l'âme, la ville s'accorde avec le résident pour s'ériger en incurable malade. Les "artères" trouées, le "coeur" battant au ralenti, notre cité exprime une décadence non plus seulement sociale mais davantage anthropologique. Et puis... badaboum!
S'écartant d'un postulat pourtant fort poétique, le réalisateur adopte une perspective politique qui, outre son extrême banalité, dessert une oeuvre dorénavant dotée d'un intertexte (cf les références citées plus haut sans oublier "Taxi Driver") parfois poussif. Se faire justice ou pas? Le dilemme reste d'actualité, évidemment (et ce depuis l'Ancien Testament). Mais pourquoi avoir modernisé et simplement modernisé un archétype ("justicier urbain") qui, de ce fait, ne peut vraiment bénéficier de son "changement de sexe"? Masculinisée, la pauvre Jodie agit comme ses prédécesseurs, sans plus... Opportun dans "De sang froid", "Alien,", "Kill Bill" ou "Lady vengeance", le cliché s'accommode mal ici d'enjeux sociaux qui, à ce titre, paraissent artificiels. Du faux "politiquement incorrect" (car cela demeure très éducoloré) au portrait d'une société agonisante car schizophrène, le film ne nous épargne rien sauf l'émotion très simple et néanmoins subtile qui se dégage des magnifiques portraits de femme / ville posés au préalable.
Superfly
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Re: The Brave One - Neil Jordan (2007)

Message par Superfly »

Un bon petit film qui dure peut être 15minutes de trop. Le plus amusant c'est d'essayer d'opposer Le Justicier et ce film. Il est vrai que Jordan est moins bourrin que Winner. Qu'il sait montrer les fêlures, la détresse, la descente aux enfers de son personnage. il ne la juge pas et c'est plutôt rare. Mais bon le fond est quand même strictement le même et je ne parle même pas de la fin.
Donc c'est un bon film, traité d'une façon adulte avec une Jodie Foster nous rebalancant une énième fois son jeu de "je prends tout sur mes petites épaules frêles..."...

Maintenant, le fait de ne pas la juger, nous pousse peut être à accepter cette justice sauvage à coup de mélancolie et grâce à de jolies scènes (celles se passant dans la radio par ex). Joli tour de passe passe je trouve. :-D
Superwonderscope
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Re: The Brave One - Neil Jordan (2007)

Message par Superwonderscope »

Mise en scène très ambigue, motivations floues et déchirement interne d'Erica, le film est parfait en cela. A savoir le côté inéluctable du danger, sa présence permanente. Comme le note Haribo, la scène mettant en parallèle à la fois un acte d'amour et d'arrivée dans la salle d'opération d'Erica est une splendeur qui montre bien que Jordan est aux manettes d'un film qui va explorer une faille, ce qui n'était pas le cas de Michael Winner. Beaucoup de sentiments tangents qui motivent la dérive. Une poésie noire qui pèse sur le visuel et le cadre du film.

Maintenant, on aura beau dire ce qu'on veut, c'est un vigilante movie et rien d'autre. le final est là pour l'appuyer. Voici en gros, ce qui attiré mon attention. Car si je ne nie pas la beauté de la mise en scène et sa profonde logique, beaucoup de choses m'ont parue faciles et au fond curieux.
Mise en scène des voyous qui attaquent Erica et son ami (de couleur) : des gens "de couleur". Pour contrebalancer le tout, mettons un inspecteur noir avec sa crise personnelle (complètement accessoire et en trop du film, qui plus est expédié en deux coups de cuiller à pot). Erica va chercher une arme mais ne peut l'obtenir? Un vendeur asiatique l'aborde et hop, direction "une cave" (les tréfonds de New York) car c'est bien connu, les asiatiques ont tout à disposition. les agresseurs du metro reproche au jeune blanc d'écouter les Dixie Chicks ou radiohead sur son ipod. Les policiers, trouvant les cadavres, regardent sur l'ipod et voient les groupes en question. cimmentaire de terrence Howard : "pas de Wu tang Clan?" -> i.e, ils ont du forcément voler le bidule, c'est pas de la musqiue de blacvks à fringue large avec le collant de maman collé sur le tete. Un partout, balle au centre.
Erica est très forte, aussi, pour se faire agresser deux fois en moins d'un mois. Il y en a qui n'ont pas de chance. Et en plus, elle tire juste à chaque fois sans s'etre entrainée. Spamal.
La bureaucratie de la police et son grouillot qui répète le même discours à chacun à l'entrée... la paperasse a pris le dessus sur l'action. En fait, ce point de vue n'a guère changé depuis 30 ans, aboutissant à une certaine "légitime violence". Ensuite, on y colle la blessure que l'on veut, le parcours que l'on souhaite, à la fin, il faut buter les salopards. C'est d'ailleurs à y penser une constante du cinéma américain, à de très rares exceptions et vigilante movie ou pas, de terminer sur l'éxécution légale ou illégale du tueur (là, comme ça, je pense à Copycat tout de suite, je sais pas pourquoi?). justifier ce final de par les actes les plus atroces qui puissent etre commis.
Et puis la (jolie) chanson éthérée collée sur la scène finale (apaisement de l'heroïne?) ne m'a pas convaincu non plus, comme pour excuser ce qui vient de se passer. C'est assez manipulateur, à l'image du film, en fait. Neil Jordan a bien joué son coup.

enfin bref, ces facilités accumulées et ce final m'ont assez dérangé, suffisamment pour que ces aspects négatifs l'emportent sur le reste.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
rusty james
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Re: The Brave One - Neil Jordan (2007)

Message par rusty james »

En ces temps de sarkozism effrénés, çà m'a bien refroidi de commander le bd... (outre le mois d'attente sur dvdpacific ^^)
Helloid
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Re: The Brave One - Neil Jordan (2007)

Message par Helloid »

Vu ce soir et perso j ai trouver le film tres bon , en tout cas ca m a parler . Jodie Foster inteprete superbement bien cette femme brisée et remplie de haine et de vengeance . Le final est enorme et emouvant .
Tutti "Fucking" Frutti !!

Chaque être humain a aisement les aptitudes a devenir un gros con ...
manuma
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Re: The Brave One - Neil Jordan (2007)

Message par manuma »

J’attendais beaucoup du film et j’en ressors assez mitigé. Dans les grandes lignes je rejoins Superwonderscope (... pour ne pas trop changer). Au niveau de la réalisation c’est la classe supérieure. Il y a de grands moments de mise en scène, comme la séquence de l’arrivée à l’hosto de Foster citée précédemment par Haribo et Superwondie, qui m’a également fait fondre. Le plan vertical à la fin sur Jodie se perdant dans un dédale de ruelles sombres est également de toute beauté. Bref, du côté de l’ambiance, c’est totalement réussi, et même si son approche n’a rien à voir avec celle de Winner sur Death wish - puisque la comparaison entre les deux films semble de rigueur - je trouve l’ambiance urbaine qu’instaure Jordan aussi oppressante et réussie que celle de son ainé.

Maintenant, j’ai eu beau essayé d’y croire, je suis un peu moins emballé par le script, qui sent tout de même fort le DTV bon marché des décennies passée. Tout ce qui concerne la psychologie du personnage de Foster est intéressant et passe encore relativement bien. Mais pour le reste, et sans rentrer dans des considérations d’ordre éthique, ça manque sérieusement de soin et de nuance dans la progression du récit. Jodie ne perd vraiment pas de temps pour se procurer une arme. Elle passe à l’acte presque illico par le biais d'un « heureux » concours de circonstance, se lie d’amitié avec le flic enquêtant justement sur les crimes qu’elle a commis. Bref, ça nous fait quand même beaucoup de facilités tout ça.

Ha, et pis un autre truc qui ne m’a mis de mauvais poil, c’est le scandaleux sous-emploi de Mary Steenburgen, qui doit avoir 3 séquences dans le film.

Ceci étant dit, dans l’ensemble, le film demeure quand même dix fois plus intéressant qu'un Running scared, pour prendre un exemple récent de polar hard boiled lorgnant vers le vigilante movie, et méritait mieux que l’accueil glacial qu’il a reçu chez nous. Par ailleurs, en y réfléchissant, je me dis que c’est le genre de film qui possède un fort potentiel de bonification avec l’age.
Modifié en dernier par manuma le lun. janv. 18, 2010 11:12 pm, modifié 1 fois.
rusty james
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Re: The Brave One - Neil Jordan (2007)

Message par rusty james »

J'en attendais plus grand chose au final et je ne crois pas qu'on puisse le comparer à Running scared qui est plus un thriller d'action alors que là on a clairement un drame psychologique plus que tous le reste.
D'ailleurs je trouve que le thème du "vigilante" est presque évacué (Jodie le dit elle-même a un moment, il ne s'agit pas de bien ou de mal, il y a juste qu'elle est devenu une autre et qu'elle le fait, c'est tout, c'est comme çà), on s'en fout un peu de savoir faut-il punir les méchants ou pas (même si la fin va quand même dans cette direction, c'est dommage car çà aurait presque pu être un film nietzschéen en un certains sens s'il avait suivi ce contre-pied moral).
Bien que tourné autour de la personnalité de Jodie Foster (maigrelette comme jamais qui est pas loin de faire peur avec ce visage émacié) c'est Terrence Howard qui éclabouse l'écran j'ai trouvé. Cà a l'air tellement simple qu'on ne fait pas attention, mais je l'ai trouvé particulièrement juste.
Avant tout étude psychologique, de ce côté là comme Haribo le notait c'est plutôt réussi. Pour le reste la scène de l'agression du début manque singulièrement de violence, et il y a pas mal aussi de petites incohérences.
Reste que le film ne tombe pas non plus dans l'intellectualisation chiante et n'est pas ennuyeux un seul instant du coup.

Sinon pour finir un petit mot sur le blu ray. La photo de Philippe Rousselot resplendi totalement avec ces bleus et ces verts de toute beauté, aucune imperfection, c'est précis, de la très bonne ouvrage.
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Re: The Brave One - Neil Jordan (2007)

Message par comte vonkrolock »

J’vais par revenir sur le énième débat vigilante movie ou pas, vu que le film est sorti à quelques mois du Death Sentence de James Wann qui lui assume totalement son héritage Death Wish.

Non The Brave One est avant tous un drame, un film qui tourne entièrement autour du personnage jouer d’une manière juste et poignante par Judie Foster (Elle mériterait presque un 3e oscar :mrgreen: ).C’est simple une fois de plus l’actrice vampirise l’écran, elle met en avant le choc de cette violente agression vécu par son personnage qui n’arrive pas à revenir à la personne qu’elle était avant ce moment fatal. Et pour une fois qu’un film d’agression urbaine tourne pas seulement autour de la vengeance et tente une approche plus psychologique. Je dis Bravo.

La mise en scène de Neil Jordan et le travail sur la photo de Philippe Rousselot sont vraiment efficace et rende bien la parano vécut par Erica après l’agression.
Pour ma part un excellent film qui aurait mérité un peu plus d’éloge sur le forum, et au sujet des faciliter du scénario du fait que Jodie Foster tire correctement s'en entraînement au 9mm sa tient plutôt bien la route, puisque la plupart du temps elle fait feu à moins d'un mètre (a part le coup de la bagnole) l'affiliation avec le flic est du même acabit sa tient bien la route, y a que la fin qui ma parut un petit peut trop convenu.

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Re: The Brave One - Neil Jordan (2007)

Message par Manolito »

Très déçu pour ma part. Le film commence bien. Certes, la bande de loubards dans central Park est sacrément cliché, mais l'agression et les suites traumatisantes sont bien faites. Il y a une volonté de passer par le biais du thriller pour faire un film sur les violences subies par les femmes, sur leur statut de victime dans une société urbaine. Les actions d'Erica sont a priori le pétage de plomb d'une femme perdue, détruite. Sauf que plus ça va, plus les facilités s'accumulent (l'heroïne est témoin d'une agression violente à peu près tous les soirs, la relation avec le flic qu'on voit venir de loin...) ; et, après avoir louvoyé dans l'ambiguité, "A vif" sombre avec une fin bien conne. Pour tout dire, je trouve le premier "Justicier dans la ville" plus sombre, plus froid, plus dur et, quelque part plus défendable. Et puis, deux heures c'est trop long. Pourtant, Rousselot+Jordan+Foster (qui est très bien), c'est une affiche qui fait rêver ; mais, même si formellement, c'est soigné, "A vif" craint.

Vu sur ciné + replay, copie RECADREE :? :? :? en 1.77 sur du scope 2.35, VM anglaise stéréo STF.
bluesoul
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Re: The Brave One - Neil Jordan (2007)

Message par bluesoul »

Vu (et decouvert) a l'instant sur le bouquet BS (chaine privee avec des encart-pubs et apparemment "rabote" pour ces derniers :x ).

Mitige (egalement) pour ma part.

Bon, pour me situer sur le genre "vigilante"; bibi ADORE 8)) . Attention, je fais quand meme la difference entre le phantasme sur grand ecran de flinguer tous ceux qui vous cherchent des noises et le fait de se la jouer John Wayne dans sa cage d'escalier (bibi est pour la reglementation la plus stricte des armes et ne peut que secouer la tete face a la situation hallucinante telle qu'elle existe aux USA :shock: :shock: :shock: ). Bref, un film est un film, la realite, 'ben faut pas deconner, hein! :wink:

Malheureusement, je ne sais pas trop quoi penser de TBO.

D'un cote, on a un produit tres pro avec des bons acteurs (bien "cotes" aussi le casting). 'Bref, on s'attend a un film "dramatique".

De l'autre cote, on a un scenario quand meme TRES "bis" ou on ne se pose guere de questions (notez, ca peut etre du a des scenes "rabotees" lors de la diffusion :? ).

Au final, le film a le c.l entre 2 chaises, "bis", certes, mais pas assume vraiment en tant que tel. L'on est loin des scenes les plus racolleuses de Death Wish premier du nom. Bizarrement, par contre, le film ne va pas aussi loin non plus dans le drame que...justement Death Wish. )8

A cote de TBO, DW parait etonnament "equilibre". Racolleur oui, mais la "chute" de Bronson dans le vigilantisme marche. La prise des armes de Foster...non.

D'accord, il y a peut-etre eu rabotage au mauvais endroit, mais alors, c'est tout l'enchainement violence encaissee directement/indirectement -> desir de vengeance -> impossibilite de trouver les coupables -> ok, on fera avec n'importe quel enc.le qui cherche noise au personage principal, engrenage qu'on trouve dans DW et Ms. 45.

Dans TBO, Foster commence a dezinguer au hasard, s'essaye a sauver une junkie (et foire mechamment son coup! )8 ), retrouve tout-a-coup la trace des $#0%)"# qui ont fait d'elle une victime et se met en chasse
Spoiler : :
et les retrouve!
.

Ce dernier point, DW (le premier opus, s'entend) avait pris soin de l'eviter, car c'est quand meme une erreur de credibilite majeure (dans laquelle les episodes suivants allaient mechamment se fourvoyer a tire-larigot).

Autre grand probleme de credibilite (et de conviction a mon sens) est le final de TBO. Le final de DW est "logique", dans le sens que Gardenia met fin aux agissements de Bronson, mais pas fin a la "legende" du justicier, et donc, calme le jeu des voyous en ville. La fin de TBO est peut-etre "sentimentale" (romance, oblige), mais est quand meme mechamment :shock: de la part de Howard.

Reste l'impression bizarre d'un scenar de peloche "bis" qui se serait retrouve sur le bureau d'un producteur "respectable" qui en tirera un film "a stars" ou, au contraire, d'un projet de film "a stars" dont le scenario aurait ete confie a un scenariste de "bisseries".
(ajout sur ce dernier point: Roderick Taylor, le scenariste/concepteur a a son actif quand meme les scenars / concepts de Gator (1974), The Star Chamber (1983), Super Force TV (1990), Witchblade TV (2002), ces 2 derniers (et TBO) co-ecrit avec Bruce A. Taylor, le fils de Roderick(!). Euh...CQFD?? ).

'Bref, trop sage pour etre mechamment "bis" et trop a l'ouest pour etre credible comme film dramatique. :?

The Brave One: 3.5 / 5 (sympa, ca tue le temps, mais je n'echangerais pas mon calibre Bronson pour le lance-pois chiches Foster)
En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.
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