
Dans la vie, personne n'est à l'abri d'un faux pas, et si il est toujours sympathique de voir des films de la Hammer s'éloigner des films gorhique qui ont fait sa gloire, certaines découvertes laissent cependant assez perplexe !Après avoir été capturé par des sauvages (Vu le contexte du film, on va dir ça comme ça !), un aventurié se retrouve soudain dans un lieu inconnu, ou régne une puissante tribu d'amazonne.

Dans le genre, "Femmes préhistoriqus" se pose là !

Ayant visiblement abusé du LSD, Michael Carreras nous balance donc durant près de 1H30, des indigènes sortie tout droit d'un Tarzan des années 30 (A part ceux habillé en Drag Queen !



Ah oui, sans oublié au moins 3/4 scènes de dances pour le moins surprenante !

C'est à peu près le même bordel au niveau du scénario, qui part dans tout les sens, le sous texte idéologique parfois un peu douteux (Mais bon, vu la gueule du film, peut on vraiment parler d'idéologie ?


En tout cas, la plus grosse inchoérance reste encore qu'on essaye de nous faire croire qu'un homme normalement constitué pourrait préférer un petite blonde porcine à une femme comme Martine Beswick !

Sinon, le film, malgré son côté nawak (Les Allan Quatermain de la Cannon, à côté, ça ressemble à du Léos Carrax !), s'avère tout de même assez poussif, et on s'emmerde parfois un peu.
Heureusement, Michael Carreras se fera pardonner l'année suivante avec "Le peuples des Abîmes", autre production Hammer, toujours aussi barrée mais cette fois ci nettement plus sympa à suivre !


Ouch !
