mallox a écrit :qui se fait régulièrement dérouiller même s'il atteint dans sa "maladie" une sorte de noblesse
Merci...
En relisant ta critique de l'année dernière j'ai beaucoup aimé cette phrase qui, a mon sens, résume tout. J'ajoute que le film se révèle assez casse-gueule pour le réalisateur tellement le métrage repose intégralement sur son interprête principal, dans ces conditions la prise de risque est importante. Un mauvais choix de casting et ton film deviens d'un ridicule absolu. Dans le cas de Defendor Woody Harrelson est le choix parfait (même si j'imagine que l'on peux en trouver d'autres pour faire le boulot), il a dans le regard une naïveté et un innocence assez soufflante. Je suis impatient de le revoir en VO car cet acteur a un phrasé qui lui est propre et qui doit compter dans sa prestation.
Céréale-Killer a écrit :Et puis peut-être ce côté morale convenue à la fin ("arrêter la drogue, trouver un job"...) qui m'a un tantinet déçu.
Pour ajouter un petit bémol concernant le final, je suis pas lon d'être d'accord avec ce constat, d'une manière générale j'ai un peu de mal avec les fins moralistes (je dis ça alors que mon film de chevet est The abyss de James Cameron, qui fini par une morale du style: "la guerre c'est pas bien"

), mais voir le film sous cet angle serait le réduire d'une bien triste manière.