Le retour des morts-vivants (1985) Dan O'Bannon

[Dragonball]

Rien de flippant pour moi c'est quand même très second degré / comics même dans les scènes 'dramatiques'.

Heu, je crois que c'est voulu .......

[antropophagus]

Rien de flippant pour moi c'est quand même très second degré / comics même dans les scènes 'dramatiques'.

Heu, je crois que c'est voulu .......

Merci de me prendre pour un ahuri.
C’était pour rebondir sur la remarque de tomfincher, voir plus haut.

[Triox Von weasel]

Bon film Formidable même...

[DPG]

Quelqu'un aurait il le collector sorti en Z1 ?

Si oui, peut-il nous en dire 2 mots ? Qualité images ? Interet des bonus ?

Merciiiiii d'avance !

[Prodigy]

Je n'ai pas le nouveau zone 1 mais le précédent sorti il y a belle lurette était déjà excellent... Sachant que O'Bannon a refusé de participer à celui-ci parce que le salaire qui lui avait été promis pour le précédent ne lui a pas été versé (enfin cette histoire a peut-être été résolue depuis ) je dirais même que c'est la version à avoir

[AAWIL]

cette edition collector me tente bien, voyant les bonus

Features:
* Audio Commentary with Cast, Crew and Undead
* Audio Commentary with Director Dan O'Bannon and Production Designer William Stout
* The Decade Of Darkness Featurette
* Return Of The Living Dead - The Dead Have Risen Featurette
* Zombie Subtitles for the Film
* Designing The Dead Featurette

sinon coté audio et image :

Video:
Widescreen 1.85:1 Color

Audio:
ENGLISH: Dolby Digital Stereo [CC]
ENGLISH: Dolby Digital Mono [CC]
SPANISH: Dolby Digital Mono
FRENCH: Dolby Digital Mono

Subtitles:
English, Spanish

[Cropsy]

Pour ce qui est des 4 et 5, y a une date de prévue en france ou pas? peut-être en location? parceque j'aimerais bien me faire ma petite idée quand même.

[AAWIL]

j'ai acheté ce week end cette edition collector. Bon, deja coté image c'est correct mais sans plus. Pas de widescreen et en qualité c'est égal avec l'ancienne version. Pareil coté son, aucun changement.

Sinon, coté bonus. 2 documentaires interessants. L'un avec les acteurs, l'autre avec Dan O'Bannon et le responsable des effets speciaux. On y apprend surtout l'ambiance sur la plateau du coté des acteurs et dans l'autre docu on y voit la conception des zombies (enfin surtout les dessins de production) et où ils ont pris l'inspiration.
Le 3eme documentaire est en fait un doc sur les films d'horreurs des années 80 (avec Landis, Dante, Gordon ...etc...). Deja vu sur je ne sais quel autre dvd mais deja vu quand meme.
En ce qui concerne le "sous-titrage en Zombie", c'est rigolo mais sans plus. A chaque fois qu'il y a un zombie à l'ecran, il y a donc le sous-titrage de ce qu'il pense (genre quand le punk se fait manger la tete par le 1er zombie, il y a ecrit "Huummm It's taste like chicken !!!" !) amusant meme si la phrase qui revient surtout c'est "Braiiiiiiiiiiiiiiiiiiiins"

Au final, une edition correcte mais dispensable je trouve. En attendant une prochaine edition avec une meilleure qualité d'image.

[Manolito]

Pas de widescreen

C'est_à-dire ? d'après les tests des sites US, le disque est en format 1.85 et 16/9...

[AAWIL]

bah moi tout est en plein ecran. impossible de pouvoir changer.

[bluesoul]

Deux employes d’une compagnie de fournitures pharmaceutiques liberent par accident un gaz toxique de citernes contenant certains des “vrais” zombies—ceux qui ont inspires a Romero sa fameuse nuit des mort-vivants. Un groupe de punks venu chercher l’un des deux employes pour une soiree, ignorant ce qui se passe, decident de tuer le temps dans le cimetierre voisin. Mal leur en prendra…

Si certains films de zombies ont un agenda sociologique (Night of the Living Dead (1968), Dawn of the Dead (1978), Dead Set (2008) ), que d’autres essaient juste de pousser le bouchon encore plus loin (Day of the Dead (1985), Zombi 2 (1979) ), que d’autres encore essaient de juste faire vivre la legende (Romero himself avec Land of the Dead (2005) ), certains preferent juste faire preuve de ce que les anglo-saxons appellent “attitude”.

TRotLD jouera uniquement, et avec BEAUCOUP de bonheur sur ce registre et offre aux creatures imaginees par G.A. Romero leur (a ce jour) unique(?) metrage “punk” de leur filmographie.

Tel Tobe Hooper qui donnera la vedette a des “yuppies” dans son deuxieme opus de The Texas Chainsaw Massacre (1986), O’Bannon se decide a transformer en heros des “infrequentables”—ici, majoritairement des punks, mais aussi quelques employes demeures et un protagoniste qui a tout de l’ancien nazi(!).

Toutes les regles de l’heroisme et des roles principaux “made in Hollywood” seront chamboulees pour le plus grand plaisir des spectateurs complices!

Les lieux de l’action seront tells NotLD et DotLD limites a des endroits, nouvellement fortifies, car assieges.

Si dans NotLD, les lieux du “crime” prendront la forme d’une maison de campagne et dans DotD un supermarche, dans RtLD, il s’agira essentiellement d’un crematorium et de sa chapelle, qui “punk attitude” oblige permettra de saccager le bien-pensant et de remuer le sommeil des morts.

Contrairement aux enjeux des films de Romero, qui tout en etant tres nihiliste, laisseront assez de latitudes aux protagonistes pour leur laisser (ainsi q’aux spectateurs!) l’espoir d’un echappee, ici, “punk attitude” oblige, rien de tel. Tres vite, entre les sourires et rires (nerveux?) l’on se rend compte que le future s’ecrit “No Future”!).

A ce jeux-la, TRotLD devance bien des films recents (28 Days Later (2002), 28 Weeks Later (2007), Dawn of the Dead (2004) ), tout en fesant neanmoins prevue d’une totale sympathie pour le genre, et pratiquant l’humour communicatif (absent des films recents).

O’Bannon, plus connu pour ses scenarios fantastiques, pour sa premiere realisation (la deuxieme sera The Resurrected en 1992), fait egalement prevue de beaucoup d’affection pour ses protagonists; du (suppose?) nazi qui essaye de proteger une des filles poursuivie par son petit ami zombifie, au patron de la compagnie pharmaceutique et son amitie avec l’employee du creamatorium, des punks qui restent globalement soudes face a l’adversite.

La “parole” est donc globalement laissee au “petite gens” et aux associaux, tandis que les personnages representant l’ordre (policiers, militaires ou infirmiers/secourisites) oscillent respectivement entre l’inefficace (il faut dire qu’ils ne savent pas a quoi s’attendre non plus), le massacre a grande echelle et l’impuissance…Moralite: en cas d’apocalypse de type “zombie”, mieux vaut compter sur soi-meme et les copains!

A noter que malheureusement, la formule pour ce genre de metrage (y compris dans sa propre serie) semble avoir ete perdue…

Si vingt-cinq annees plus tard, les effets speciaux paraissent plus chiches (notamment le nombre (limite) de figurants reellement(!) maquilles), les effets speciaux principaux tiennent encore bien la route et meme si avec parcimonie, sont utilises a bon escient.

Au niveau du casting, et meme si la plupart des acteurs (hormis Clu Culager, James Karen et la scream-queen de service (Lynnea Quigley) ) restent globalement pas tres connus, les prestations sont excellentes et le cabotinage absent.

L’on se trouve donc en face d’une peloche sans ambition, a part celle d’etre respectueux du genre et de proposer quelques touches d’humour, sans jamais essayer de faire tomber le film dans la gaudriole—contrairement notamment a la suite direct The Return of the Living Dead 2 (1988) de Ken Wiederhorn, qui se fourvoyera dans l’humour facile et lourdingue, ainsi qu’evacuera tout le cote gentiment “subversif” du premier volet.

Sans doute, avec quelques “peloches” couillues et passionnees (Night of the Creeps (1986), Dead and Buried (1981) et bien d’autres ) toute l’essence de l’horreur dans les annees 80s! Periode benie ou les zombies (ceux de Michael Jackson) se payaient jusqu’au luxe de passer a…Champs Elysees de Drucker!

L’un dans l’autre, le type de metrage comme il s’en realisait pas mal dans ce qui fut l’un des derniers (bons?) subressauts du cinema d’epouvante / horreur, j’ai nomme les glorieuses annees 80s, avant que le revisionisme et le second-degre influence par un “politically correct” qui n’a jamais rien eu a faire dans le genre, ne commence a devenir si envahissants…

A voir d’urgence, pour la cure de jouvence!

The Return of the Living Dead: 4.5 / 5

[Jérôme]

BR le 14 septembre aux USA
http://www.amazon.com/Return-Living-Dea ... ayforum-20
Edition 2 disques. Comme c'est MGM, le second disque sera surement le précédent dvd zone 1 avec le film et les bonus, le BR n'en contenant aucun.

[Alex W]

Chef d'oeuvre...

[Alex W]

"Le retour des Morts Vivants est mon flm culte evec entre autres "Hardware" et "Ghostbusters". Pour moi "le Retour des morts Vivants" est l'un des meilleurs films d'horreur de cette periode cinématographique bénnie surtout par rapport au cinéma fantastique qu'étaient les années 80. "Le Retourdes morts vivants", non pas ceux de Roméro, mais les autres, plus vicieux , intélligents, incisifs et percutants. Puis ce fameux strip tease, ces ghoules affamées qui couraient à toute vitesse en gueulant à qui avait le malheur de les entendre : « Cerveau ! ».
Une petite affiche quasi introuvable non censurée du premier Tome!




Réalisé par Dan O Bannon en 1985, a dès sa sortie en salle fait l'effet d'une bombe dans l'univers cinématographique zombiesque de l'époque.
Doté d’un humour décapant, d’un look bien destroy aux couleurs saturés tout droit sorti d’un album des Cramps. Ecrit par John Russo déjà coscénariste du premier Opus de la trilogie de Romero « la Nuit des Morts Vivants », Return of the Living Dead (nous l’appellerons ROTLD) prend le ton de la dérision et de l’esprit EC comics (Tales from the Crypt, EErie, etc. Et c’est d’un véritable film ovni cinématographique que Dan O Bannon accouche après bien des déboires juridiques opposant Romero et Richard Rubinstein son producteur et Tom Fox alors producteur de ROTLD en rapport aux droits sur le titre. En effet le terme « Living dead » appartenant à Laurel entertainement la firme de Rubinstein.
Après un long conflit juridique, John Russo et Tom Fox l’emportent.
Il faut savoir que dans les années 70, Russo avait déjà écrit une version de ROTLD destinée à devenir la suite directe de Night of the Living Dead, l’histoire débutait dans une ferme où avaient lieux les funérailles d’une fillette mordue peu de temps auparavant par des zombis.
Edité en France aux éditions Fleuve Noir dans la collection GORE, Les écrits de Russo sont excellents pour tout aficionados de zombis. Il réécrira donc pour le compte de Tom Fox Une nouvelle version de son ROTLD 70 qui deviendra Le ROTLD que l’on connaît, aussi édité chez Fleuve Noir à l’époque.
ROTLD démarre dans un entrepôt de fournitures pharmaceutique où ont été entreposé par erreur des containers à la fin des années 60 par l’armée suite à une erreur d’adresse.
Ces containers contenant un gaz hautement toxique destiné à la destruction de la marijuana et qui s’était révèle posséder la terrible faculté de ranimer les morts.
Bien naturellement deux imbéciles travaillant en heures sup à l’entrepôt, ne trouvent pas mieux que de tripoter les fût déjà bien rouillé par le temps et donc plus très hermétique.
Bien entendu c’est la fuite et le gaz appelé Trioxine 245 se répands et ranime les macchabées du coin, transformant nos deux stupides larrons en zombis en devenir.
Se mêleront à l’histoire une bande de Punk à l’ancienne, un ancien Nazi reconverti en croque mort, et un bon cheptel de zombis affamés qui ne cesse de se recommander des humains, comme on se commande une pizza à pizza 30.
ROTLD pullule d’idées géniales, mélangeant habillement l’humour, le sex, et l’horreur sur une bande son punk new wave qui déchire.

[Kekulé Von Sardonik]

D'autant plus frustrant que le Blu-Ray MGM va être zoné A à coup sûr.