Vu sur Mazon Prime.
En fait, j'avais vu le film sur le satellite nippon il y a quelques annees et j'en avais garde un bon souvenir.
Bon, bibi est fan de l'Antartique, de son froid spatial, sa redoutable hostilite, sa faune extraterrestre

. A Cold's Night Death TV (1973), The Thing (1982) & (2011), The Thing from another World (1951), Nankyoku Monogatari [ Antarctica ] (1983), Namgeuk-ilgi [ Antartic Journal ] (2005) ou de variations sur le theme: Insomnia (1997) & (2002),
Smilla's Sense of Snow (1997), World War III TV (1982), The Fourth War (1990), The Grey (2011). Bref, pour bibi la "final frontier" est la ou l'horizon voit la terre et le ciel se fondre en un enfer blanc...
Whiteout a donc tout pour me plaire (et me plait en fait).
...Et ce malgre une foultee de problemes ou simplifications, parmi lesquelles des elipses, des illogismes, des SFX pas toujours au top (l'avion, les chutes mortelles) et des flashbacks visuellement franchement ratees

et donnant au perso ded Beckingsdale un traumatisme bidon, voire un chouillat c.uillon...

ainsi qu'un mix pas toujours convainquant entre thriller et...slasher...
(En aparte, j'ai aussi un peu un probleme avec la (mega?) base du film, mais bon, j'en suis reste a des explorateurs "mobiles" et "Outpost 31" alors

)
Pour le reste, la realisation est competente (mais plombee par des problemes de scenar et comme mentionne ci-dessus de mise en scene). Les acteurs sont bons, meme si on a souvent moins l'impression qu'ils ont les miches "au frais" autant qu'ils sont censes (i.e. ca sent les SFX et le tournage en studio plutot qu'en exterieurs).
Par contre, ce qui arrive certains persos est assez vache, comme ce qui arrive au perso de Beckingsdale
(meme si ca ne semble guere l'handicapper outre mesure apres...)
A l'arrivee, on dirat une sorte de telefilm our DTV hyper-frique, mais bon, bibi ne boude pas son plaisir.
Whiteout: 4.0 / 5.0 (beaucoup aime, mais bon, c'est le genre de film sur lequel j'ai un avis TRES TRES biaise a la base

, z'etes prevenus )
En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.