Diamonds are Forever - Guy Hamilton (1971)

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Superwonderscope
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Diamonds are Forever - Guy Hamilton (1971)

Message par Superwonderscope »

Après avoir tué Blofeld (Charles Gray), James Bond (Sean C.) est assigné à une histoire de trafic de diamants qui aboutit à un laser qui fait tout péter.

Image

Bon ben berk, quoi. Je l'avais vu au cinéma lors des ressorties pendant les années 80 et je n'en avais aucun souvenir, si ce n'est une homophobie patente (une marque de fabrique chez Bond) et deux acrobates bondissantes (sans jeu de mot). En le revoyant hier soir, j'ai compris pourquoi.
Je n'en avais strictement rien à secouer de cette histoire assez peu excitante de diamants volés avec les passeurs se faisant buter les uns après les autres.
L'ensemble kitsch fait penser à un sérial des années 40. pas une mauvaise chose en soi, mais après des virtuoses de la caméra et du montage comme Hunt ou Gilbert, Hamilton est très (trop?) sage. Il y a bien le combat dans l'ascenseur qui est original, mais le reste est très routinier. Si bien qu'on se fait un peu chier pendant une bonne heure.
C'est d'un machisme assez invétéré, Connery oblige (qui a pris du bide et des poils sur les épaules en 4 ans :D ) avec des dialogues misogynes - voir sa répartie sur les blondes et les brunes à la première rencontre avec Tiffany case/Jill st John
qui est maquillée et habillée comme c'est pas permis :shock: , une des Bond girls les moins sexy à mon sens...

Côté action, les hélicoptères sont du bon côté cette fois (comparé à You only live twice), dommage que tout soit concentré à la fin ou presque. Les quelques morceaux comme la poursuite dans Las Vegas, celle en module lunaire (un peu ridicule, celle là) ne sont pas vraiment mémorable. le pire étant qu'une regardant le bonus du making of, on se dit qu'il y eu beaucoup de boulot derrière, mais le résultat à l'écran est juste moyen. Reste l'attaque (gratuite car ne servant à rien dans l'histoire) de Bambi & Thumper : très fun. Charles Gray, revenant donc de You Only live Twice, est un Blofeld suave - très en rupture avec un Pleasance menaçant et un Savalas dur et direct.

En fait, on est clairement des crans en dessous côté scénario, hormis cette brillante idée de ce milliardaire reclus au sommet de sa tour que personne ne voit et qui domine tout (= Howard Hugues). Mais il faut attendre la moitié du film pour y arriver. Tout pointe vers la spectaculaire attaque finale, mais tout cela n'est guère intéressant. Les 119 minutes s'égrènent lentement.

Barry fait une de ses pires compositions de sa période Bond. Ces gazouillis pour numéros de Las Vegas (ah oui, faut voir aussi les donzelles danser comme des otaries sur scène :lol: ) sont affreux. il y a un thème à sauver et bien sûr, la chanson par Shirley Bassey, une des plus réussies du cycle.

Et les deux tueurs gays sont, bon, bien sûr assez caricaturaux. Il y a de très bons dialogues narquois au moment des mises à mort, l'ironie est bien vue. (j'aurais aimé la scène du scorpion dans la bouche, comme vue dans les bonus, plutot que dans le dos). Mais c'st emprunt des clichés 70's, comme le cinéma US & UK en allonge sur les gays qui sont soit des folles tordues, soit des dépressifs suicidaires ou des psychotiques meurtriers. Ici : jalousie permanente entre les deux, envie de tuer (donc ici choix n°3 : des assassins) - la scène où ils se donnent la main en plein désert est drôôôle. Et Blofeld est bien sûr un travesti surmaquillé )8 §£ :shock: (ce concept de gay travesti assassin sera repris dans Les Anges Gardiens avec James Caan).

Bref, le résultat n'est pas glorieux. Visuellement, même Ken Adam ne peut faire grand chose et Hamilton n'est pas un as visuel. le montage est parfois mou et ne donne du rythme dans la seconde partie du film/ je regardais le film sans passion ni intérêt.

Le Blu ray de la Bond Box est assez chouette - moins qu'OHMSS ou You Only Live twice sur l'éclat des couleurs et les contrastes, à mon gout. Mais un beau sens des détails (c'est aussi un Scan 4k). Le mixage en DTS HD MA 5.1 est honorable, mais moins naturel dans son rendu que YOLT. il existe des effets stéréos plaqués parfois curieux. estce du au fait que ces Diamants sont Eternels aient été tournés en stéréo magnétique et pas YOLT? je ne sais s'ils ont repris le mixage original?
Anyone?

Les bonus sont foison et semblent repris du DVD. 30 mn de making of avec interviews de Hamilton, St John, Adam, etc... très instructif, ce qui m'a fait presque réhausser le film vu le travail fourni. Mais une fois de plus, entre un tournage qu'on sent compliqué et le résultat à l'écran, ben... bof quoi. Sans grand intérêt.
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Manolito
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Re: Diamonds are Forever - Guy Hamilton (1971)

Message par Manolito »

Après "On ne vit que deux fois", la série des James Bond entre en crise, avec l'impasse Lazenby, les deux premiers Roger Moore hésitants, et ce retour raté de Connery aux affaires Le comédien a la tête ailleurs et ne fait preuve d'aucune motivation particulière dans un James Bond vulgaire, limite parodique, sans grande invention, américanisé, aux scènes d'action molles, avec un Charles Gray décevant en méchant. Un des Bond les plus mauvais...
bluesoul
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Re: Diamonds are Forever - Guy Hamilton (1971)

Message par bluesoul »

Je plussoie; tres mauvais. Decouvert sur la RTBF belge dans un cycle "Bond" dans les annees 80s je crois. L'ado que j'etais n'a vraiment rien trouve d'interessant a quoi se rattacher. :(

Une intrigue molle (une histoire de diam's, bon, ben laissons-faire Interpol, non?), des tueurs homosexuels top deliiiires qui sont plus proche de La Cage aux Folles qu'autre chose :twisted: , une histoire de laser-bidule-machin qui n'avait ni queue ni tete (aussi une histoire de gaz mortel dans une scene de labo qui me paraissait tombee de nulle part :roll: ), un adversaire-potiche (Gray en chute libre :? ), impossible de me rappeller de la Bond-Girl, pas un bon signe. Me rappelle par contre des tueuses "acrobatiques", mais ca reste maigre, trop maigre. Plus trop sur si Connery semble se faire ch... a l'ecran ou s'il est heu-reux de cachetonner a mort sur son retour.

Je plussoie aussi Manolito sur la periode Bond qui entre dans une periode assez "bizarre". Enter Lazenby. Exit Lazenby qui fera l'affront d'annoncer qu'il ne reprendra pas le role une deuxieme fois alors que le premier n'est meme pas sorti. :shock:

Re-enter Connery qui pour l'occasion cachetonne un max'! Re-exit Connery qui raccroche le role apres son hold-up. :twisted:

Enter Moore avec Blaxploitation (Live and Let die) :shock: , pour enchainer un Man with the Golden Gun au look plutot "cheap" :roll: , avant d'ENFIN arriver a un The Spy who loved Me vraiment bon(d) 8)) . Ouf...

Cette annee, on fera un cycle Bond a rebours avec ma moitie, et je sens que cet episode--voire cette periode, va etre TRES penible...Tiens, on pourrait le / la sauter. :mrgreen:
En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.
Superwonderscope
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Re: Diamonds are Forever - Guy Hamilton (1971)

Message par Superwonderscope »

Je n'étais pas spécialement chaud pour le revoir, mais je pense généralement qu'il est bon de ne pas rester sur une image floue ou mauvaise d'un film vu il y a des années.

Je suis malgré tout content de cette nouvelle vision, avec aujourd'hui un bagage culturel supplémentaire amassé sur ces années. Ca donne le recul qu'il faut pour avoir un autre angle de vue.
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miniwide
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Re: Diamonds are Forever - Guy Hamilton (1971)

Message par miniwide »

Sans doute le Bond que j'aime le moins. Je le trouve chiant de bout en bout, et l'histoire avec Blofeld et sa chirurgie esthétique heu... )8 (encore heureux que les scénaristes n'aient pas utilisé cette idée avec Bond pour expliquer le changement d'acteur dans OHMSS comme c'était initialement prévu)

Je compte me faire le coffret blu-ray prochainement, mais vraiment pas impatient de le revoir celui là :mrgreen:
comte vonkrolock
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Re: Diamonds are Forever - Guy Hamilton (1971)

Message par comte vonkrolock »

Bon puisque Superwonder c'est lancer avec brio et une furie frénétique de vouloir dressez un portrait assez fidèle de la saga Bond, je vais y ajouter ma toute petite pierre :D

Alors clairement pour moi qui suit a peut-être près de la même génération que la petit équipe Devildead, je dirais que Bond ça reste encore et pour longtemps Roger Moore 8) la grande classe, toujours souriant, des gadgets a gogos, pour tous les gosses de mon époque ça reste le seul vrai 007.
Sean j'ai appris a l'apprécier avec le temps et a comprendre le fossé qu'il y avait entre ces deux interprétations d'un même personnage. Bon bref des styles très différente et a l'opposé, comme le seront d'ailleurs la plupart des acteurs suivants incarnant le personnage.

En effet ces Diamants semble bien loin de faire l'unanimité tous comme un très grand film de la saga, et dont on aura pas un grand souvenir. Et pourtant a sont époque ça a du le faire. Je m'explique d'abord on a le grand retour pour une dernière prestation et unique de sa vedette dans le rôle de 007. Mr Connery le King des espions des sixties, le précedents acteur (George Lazenby) malgré tous le bien qu'on puisse en penser (moi le premier) n'a pas su trouver le coeur des spectateurs. Du coup Sean en profite pour honorer un ultime film dont d'après la legende il reversera la totalité de son cachet a des organisations humanitaires, beau geste de l'acteur qui rend donc un peu de cette gloire a laquelle il a profiter pendant près d'une décenie (Dr No 1962).

L'histoire bien entendu n'est que pretexte a une fois de plus relancer la machine et remettre le couvert face a la bloffeld presque immortel, et quoi de plus évident que de faire mourir son adversaire au tout début, pour faire du plus célèbre des agents secrets un simple fonctionnaire.
Du coup, il se retrouve embarquer dans une simple affaire de Diamands volé, c'était aussi dans le ton de l'époque tous le monde se souvient de toutes ces affaires de détournements et de pillage des ressource du continent Africain. La plus célèbre chez étant l'affaire des diamants de Bokassa 1er :mrgreen:
Tous comme le gros morceau du film : la course poursuite incroyable a Las Vegas une des plus intance et longue de son époque et faisait d'ailleurs immédiatement soit quelques émule comme se Gone In 60 secondes (1974) ou bien s'inspirant d'autre film comme celui de Richard C. Sarafian Point Limite Zéro (1971). James Bond et grosse bagonle sa a toujours eux sont impact sur le spectateur. On a là un mixe d'un peu tous se qui pouvait faire et qu'on trouvera par la suite dans les années 70s.

Et quel générique Shirley Bassey (Goldfinger) en référence il y a pire, d'ailleurs c'est l'une des rares, la seul je crois qui a son actif 3 générique de James Bond.

Au final cette histoire qui parte d'un trafique de diamants finira par nous entrainer très loin, pour un final a la hauteur heureusement. Le film reste se qu'il est, il a certe pris un gros coup de vieux dans la gueule, et risque avec le temps d'être encore un peu plus déprécier.
Pour l'apprécier réelement je dirais qu'il faut éviter de le ressortir de son contexte, de son époque et peut-être que pour certains d'entre nous il passera encore le choque des années....

La copie BR a l'air superbe, j'ai vu juste le prégénérique et c'est tous simplement 8))
Superwonderscope a écrit :Et les deux tueurs gays sont, bon, bien sûr assez caricaturaux. Il y a de très bons dialogues narquois au moment des mises à mort, l'ironie est bien vue. (j'aurais aimé la scène du scorpion dans la bouche, comme vue dans les bonus, plutot que dans le dos). Mais c'st emprunt des clichés 70's, comme le cinéma US & UK en allonge sur les gays qui sont soit des folles tordues, soit des dépressifs suicidaires ou des psychotiques meurtriers. Ici : jalousie permanente entre les deux, envie de tuer (donc ici choix n°3 : des assassins) - la scène où ils se donnent la main en plein désert est drôôôle. Et Blofeld est bien sûr un travesti surmaquillé (ce concept de gay travesti assassin sera repris dans Les Anges Gardiens avec James Caan).
A oui j'avais pas fait gaffe :shock: Ce qui date encore un peu plus le film. On ne pourrait voir se genre de chose aujourd'hui, et c'est temps mieux preuve que se film est bien d'une autre époque.
Toi t'est un flic..? Non j'uis un con. :D
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Re: Diamonds are Forever - Guy Hamilton (1971)

Message par second degré »

comte vonkrolock a écrit :Bon puisque Superwonder s'est lancé avec brio et une furie frénétique de vouloir dresser un portrait assez fidèle de la saga Bond, je vais y ajouter ma toute petite pierre :D

Alors clairement pour moi qui suis peut-être à peu près de la même génération que la petite équipe Devildead, je dirais que Bond ça reste encore et pour longtemps Roger Moore 8) la grande classe, toujours souriant, des gadgets a gogo, pour tous les gosses de mon époque ça reste le seul vrai 007.
Sean j'ai appris à l'apprécier avec le temps et à comprendre le fossé qu'il y avait entre ces deux interprétations d'un même personnage. Bon bref des styles très différents et à l'opposé, comme le seront d'ailleurs la plupart des acteurs suivants incarnant le personnage.

En effet ces Diamants semblent bien loin de faire l'unanimité en tant que très grand film de la saga, et dont on n'aura pas un grand souvenir. Et pourtant à son époque ça a dû le faire. Je m'explique d'abord on a le grand retour pour une dernière prestation et unique de sa vedette dans le rôle de 007. Mr Connery le King des espions des sixties, le précedent acteur (George Lazenby) malgré tout le bien qu'on puisse en penser (moi le premier) n'a pas su trouver le coeur des spectateurs. Du coup Sean en profite pour honorer un ultime film dont d'après la legende il reversera la totalité de son cachet à des organisations humanitaires, beau geste de l'acteur qui rend donc un peu de cette gloire à laquelle il a profité pendant près d'une décenie (Dr No 1962).

L'histoire bien entendu n'est que prétexte à une fois de plus relancer la machine et remettre le couvert face à un Bloffeld presque immortel, et quoi de plus évident que de faire mourir son adversaire au tout début, pour faire du plus célèbre des agents secrets un simple fonctionnaire.
Du coup, il se retrouve embarqué dans une simple affaire de diamants volés, c'était aussi dans le ton de l'époque tout le monde se souvient de toutes ces affaires de détournements et de pillage des ressources du continent africain. La plus célèbre étant l'affaire des diamants de Bokassa 1er :mrgreen:
Tout comme le gros morceau du film : la course poursuite incroyable à Las Vegas une des plus intense et longue de son époque et faisait d'ailleurs immédiatement soit quelques émules comme se Gone In 60 secondes (1974) ou bien s'inspirant d'autres films comme celui de Richard C. Sarafian Point Limite Zéro (1971). James Bond et grosse bagnole ça a toujours eu son impact sur le spectateur. On a là un mix d'un peu tout ce qui pouvait se faire et qu'on trouvera par la suite dans les années 70s.

Et quel générique Shirley Bassey (Goldfinger) en référence il y a pire, d'ailleurs c'est l'une des rares, la seule je crois qui a à son actif 3 génériques de James Bond.

Au final cette histoire qui part d'un trafic de diamants finira par nous entrainer très loin, pour un final à la hauteur heureusement. Le film reste ce qu'il est, il a certe pris un gros coup de vieux dans la gueule, et risque avec le temps d'être encore un peu plus déprécié.
Pour l'apprécier réelement je dirais qu'il faut éviter de le sortir de son contexte, de son époque et peut-être que pour certains d'entre nous il passera encore le choc des années....

La copie BR a l'air superbe, j'ai vu juste le prégénérique et c'est tout simplement 8))
Superwonderscope a écrit :Et les deux tueurs gays sont, bon, bien sûr assez caricaturaux. Il y a de très bons dialogues narquois au moment des mises à mort, l'ironie est bien vue. (j'aurais aimé la scène du scorpion dans la bouche, comme vue dans les bonus, plutot que dans le dos). Mais c'est emprunt des clichés 70's, comme le cinéma US & UK en allonge sur les gays qui sont soit des folles tordues, soit des dépressifs suicidaires ou des psychotiques meurtriers. Ici : jalousie permanente entre les deux, envie de tuer (donc ici choix n°3 : des assassins) - la scène où ils se donnent la main en plein désert est drôôôle. Et Blofeld est bien sûr un travesti surmaquillé (ce concept de gay travesti assassin sera repris dans Les Anges Gardiens avec James Caan).
A oui j'avais pas fait gaffe :shock: Ce qui date encore un peu plus le film. On ne pourrait plus voir ce genre de choses aujourd'hui, et c'est tant mieux preuve que ce film est bien d'une autre époque.
mon premier Bond au cinéma fût L'espion qui m'aimait, mais grace aux reprises j'ai pu voir également sur grand écran tous les précédents, et le dernier, car le plus difficile à voir, celui qui passait le moins, était ce Les diamants sont éternels, du coup le voir était un exploit en soi, d'où jubilation et plaisir indépendament de la qualité du métrage, il faudra que je vois ce que ça donne au revisionnage, mais pour les années 70' ça ne peut pas être pire que Starsky et Hutch
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