Dieu que c'est chiant
presque 136 minutes de concentré de connerie japonaise de fantasmes ado : romantisme à la con, combats sans fin, du sacrifice (bien sur), explosions à tous les coins de rue sans que personne ne s'émeut. explosions de corps à n'en plus finir, courses-poursuites sur les immeubles en CGI Friday, combats aux sabres interminables, des rhaaaaaaaaaaaaa et des haaaaaaaaaaaaaaaan et et encore des rhaaaaaaaaaaaaaa et je te jette conttre un mur...blablablablbala et je te jette dans une vitrine..mais pourquoiiiiiiiiiiiii t'as tué mon frèr-reuuuuuuuuuuuuu et vlan dans le bitume etc etc, etc. quand on croit que c'est finit, ben nan, y'en a encore qui se relèvent malgré les bourr-pifs et les flingues et les bouboumtchaktchak qui en découlent. et qui mettent des heures et des heures à crever malgré trois coups de sabre tranchant dans le corps.c'est fatiguant, très très fatiguant.
Gantz peut facilement prétendre être dans les meilleurs films sortis cette année là. Kenji Kawai toujours à la manoeuvre s'offre encore une fois un grand moment.
) a la qualité comme sur le premier tout bonnement fantastique son et image assure un spectacle explosif, surtout lorsque les rues de Tokyo sont prise pour un champ de bataille, sa explose sous les coups de feu des Gantzeur les basses se ressentent longuement, bref quand on voit ça Tranformers a rien inventer 
on se contrefout des enjeux mongoloïdes de marionnettes/acteurs qui courent pendant le temps de l'action et qui se jette des regards vitreux le reste des dialogues. On apprend pas vraiment grand chose de plus sur cette boule noire (si ce n'est qu'elle finit par lacher "que la paix soit avec vous"à la fin) et que, douce ironie, les personnages lachent au bout de 125 minutes : 'mais pourquoi toutes ces tueries" 