Lors de l'ouverture de la sonde (spatiale pas urinaire), la famille parvient à s'échapper. Panique en Californie ! Malheuresement Mac (une baudruche en latex pas Richard Pryor) le plus petit de la famille se retrouve séparé de son père et de sa mère. Mac (c'est donc son nom, pas la profession) va trouver refuge auprès d'Eric, un jeune garçon plein de dynamisme. (quel mauvais esprit ont les rédacteurs de jaquette)
La jaquette nous préviens :
Toute la famille adorera Mac le petit martien perdu dans un monde hostile, et sa rencontre avec Eric, le jeune paralysé. L'émotion est au rendez-vous et on passe du rire aux larmes...
Badi n'a qu'à bien se tenir devant cette ôde à l'intégration et au Mac Do, véritable cri d'amour aux cheeseburgers relayé en France par Eurogroup.
Réalisé avec le plus grand sérieux par Stewart Rafill (PHILADELPHIA EXPERIMENT !!), mis en musique par Alan Silvestri (endormi sur ses claviers)... un produit Z qui ne recule devant rien pour capitaliser sur un succès déjà vieux de sept ans à l'époque. SFX épouvantables, mievrerie dégoulinante, conclusion d'une idiotie remarquable (et qui s'avançait jusqu'à aller annoncer une sequelle...) MaC aNd mE, un produit douteux qui donne la gastro mais comme on aime les voir de temps en temps, il faut bien l'avouer !


