































Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
C'est clair, mais pour compenser, nos chers éditeurs nous sortent ça le 18 février :Manolito a écrit :Je suis toujours baba que "John dies a the end" reste inédit en France !!
Je suis trop nul en anglais pour me passer de sous-titres, et encore, je me suis amélioré à force de regarder de la vo sous-titrée, mais ce n'est pas suffisant.Superwonderscope a écrit :Le cout des droits et les risques d’exploitation semblent moindres pour des produits comme Sharknado que d'autres produits moins connus.
Le nombre de films à potentiel DTV présents au marché du film de Cannes voire d'autres) et qui ne sort pas chez nous est tout aussi hallucinant. Lef ait qu'ils arrivent en Festival tient déjà du miracle.
La soluce : parler anglais au minimum et acheter ailleurs. ce que je fais pour ce type de produit.
Certains films ayant quand même des budgets très faible, ce serait quand même étonnant que les droits soient chers. Nombre de dtv qui sortent chez nous ont en tête d'affiche (surtout sur la jaquette) des anciennes stars déchues, genre Val Kilmer ou Christian Slater ou un réalisateur qui a fait quelques films connus comme Vincenzo Natali. Il Faudrait pouvoir interviewer des éditeurs comme Emylia ou Elephant qui font beaucoup dans le DTV, mais pas trop de produits genre Syfy production.Manolito a écrit :"Odd Thomas" a déjà un ayant droit pour la France, donc il va bien finir par sortir un jour. Tout comme d'autres films comme Wolf Creek 2. Quant aux coûts et risques d'exploitation ou autres, c'est difficile de savoir ce qu'il en est vraiment, que ce soit dans un sens ou dans un autre, aucun d'entre nous n'étant vraiment dans ce business du DTV...
Encore faut-il avoir les moyens d'attendre, après, une boite qui a un peu de bouteille a cette source de revenus en continu. Cependant, certains films ne passent jamais à la tv. Mais, ça veut dire aussi qu'il doit être très difficile de lancer une nouvelle boite, ça suppose de pouvoir se permettre d'être déficitaire sur les premières années.Manolito a écrit :Il y a aussi d'autres revenus, comme ceux des diffusions sur le câble, canal + et autres VOD, TNT... sur plusieurs années. Des sources de revenues parfois très, très substantielles quand on met tout bout à bout...
l'éditeur s'étant occupé en France de Stranded ou autre Enemies Closer (ACE) arrête les frais, pour donner une idée. Emylia avait arreté provisoirement les frais il y a quelques mois suite à l'arret de son distributeur video, pour devenir Factoris Films mais avec un catalogue bien pauvre - surtout de l'horreur bas de gamme. Et hormis du cinéma familial ou un Val Kilmer, y'a plus grand chose dans le catalogue.Drac a écrit : Certains films ayant quand même des budgets très faible, ce serait quand même étonnant que les droits soient chers. Nombre de dtv qui sortent chez nous ont en tête d'affiche (surtout sur la jaquette) des anciennes stars déchues, genre Val Kilmer ou Christian Slater
C'est ce qui transparait quand on voit ce qui sort.Superwonderscope a écrit :La France n'est plus trop un pays à débouchés intéressant pour le film de genre moyen de gamme, c'est ce que m'avaient sorti plusieurs producteurs/distributeurs sur le marché du film à Cannes l'année dernière. Seul le bas de gamme peut perdurer, ou la haut de gamme. Mais dans tous les cas de figure, il faut que ce soit des majors ou des mini-majors qu aient les reins solides pour porter un film et perdurer dans le milieu (comme pour The Collection, par ex.).