Je n'est pas vu le précédent film de ce réalisateur (The Pact), mais ce At the Devil's Door semble s'appuyer sur les même ficelles d'après la ba qui est sur le site.
Comme le signale Sophie Schweitzer dans sa critique du film, Nicholas McCarthy semble maitrisé son sujet. Un film simple, mais à l'écriture originale. Partie d'un fait divers assez banale, une conversation dans un taxi sur une histoire de vente d'âme au diable. Il développe une histoire de possession qui si elle est loin de la maestria qu'orchestre habituellement des gens comme Clive Barker sur le même sujet. Offre son lot de frissons avec un vrai plaisir qu'on aurait vraiment tort de boudé.
Il y a là un aspect réaliste qui joue beaucoup sur l'atmosphère des lieux ou ce déroule les événements. Cette façon de faire assez originale d'éclater le récit sur plusieurs protagonistes afin de créer l'envie d’aller jusqu'au bout de cette histoire est réelement bien penser et passionnante. Il y a bien quelques jump scares par ci part là. Mais ceux-ci sont totalement justifier je trouve, et joliment appuyer par le climat lugubre qui parsème les lieux visités.
Chapeau au trois actrices principale, un films d'horreur en très grande majeur partie au casting féminin
efficacement dirigé par une mise en scène qui soigne son format scope, et particulièrement son ambiance.Une perle et s'est tellement rare encore une fois dans ce genre de se renouveller, un film qui mérite très largement les avis positif qu'il a pu recevoir dans les festival ou il a été présenté.
Je commence à comprendre au vu de la critique du site pourquoi Sophie semble avoir autant apprécier Horns en lisant celle de ce At the Devil Door par rapport a celle du film d'Alexandre Aja qui par ces dernières scènes bien too much déséquilibre en bonne partie son film, et surtout semble à l'opposé de ce cinéma là bien plus proche de son spectateur et ne cherchant pas à renouveler une formule usé aujourd'hui façon Twilght et toutes cette suite.
Un film bien plus proche de l'héritage du Rosemary Baby's toute proportions gardé que de film façon la Fin des Temps avec Schwarzy, ou le diable fait tout péter dans tous les sens et semble tout puissant
La critique du site:
http://www.devildead.com/indexfilm.php3 ... -door-cine
) elle adore les films d'horreur moins connu du grand publique, mais qu'elle ne se serait jamais vu dedans. Et que celui-ci avait une approche originale et assez différente des autres films de possession.
dommage 
comme pour le conseil de visionner le PACT car je n'avais pas vraiment envie de le visionner, car dans la BA trop de scène était ressemblante au At the Devil Door. En plus Caspier Van Dien..... Sa donne pas envie lui s'est le gars d'un seul film ou d'une série de film.
Donc on a trois personnages qui se succèdent : l'ado, une agente immobilière puis sa sœur peintre - toutes deux inutilement (par rapport au scénario) orphelines. Donc le but est de donner naissance à la Bête ? M'ouais. L'idée pour la peintre de contrecarrer un avortement en la plongeant dans le coma pendant 8 mois est bien vue, mais bon... Tout ça pour ça ? Je trouve quand même le récit très léger. Sans parler de cette fin...