Le petit monde de Don Camillo - 1952 - Julien Duvivier

[Superfly]

Enfin en Dvd ... merci Dvdrama ....

[MrKlaus]

Ouais! j'achete....


































...pas

[niko13]

Excellent, les deux premiers films sont ceux que je prefere, apres ca se gate.
Ah, ce face a face Fernandel/Gino Cervi !!!!

[umbertolenzi]

Les mecs faut arrêter de se gausser de ces films qui sont la fierté du cinéma comique français.

Don Camillo forever !

(Bon après oui c'est vrai que ça se gatte....)

[Superfly]

moi je me moque pas .. j'adore ce mélange catho/coco. J'ADORE !

[umbertolenzi]

C'était pas toi que je visais

D'ailleurs tu sais que t'as de beaux yeux toi ?

[Superfly]

un peu dég ... car la copie est pas trop mal mais quand onregarde le film sur une simple télé, la voix de Jésus est trop en arrière. Etj'ai pas trouvé la piste italienne ... faut queje cherche mieux. Elle est peut être en bonus.

Sinon c'est toujours un plaisir de voir le duel Camillo/Pepone. Coup bas, mensognes ... pour un beau couple se frittant tout le temps mais qui se retrouvent parfois pour faire la paix. J'adore .... Dire que dans les écoles on enseigne Mort à Venise ... alors qu'il y'a tout dans Don Camillo ... de l'amour, de la tendresse, des répliques hilarantes, une belle étude de la société de l'époque ... tout ...

[Phant0m]

et le remake avec terence hill il claque

[Superfly]

j'adore le remake !!!! vivement le dvd !!!!

[Le Cancre]

La version Italienne est bien en bonus sur le même disque que la version française. Et elle a au moins un bout de scène en plus (un dialogue supplémentaire entre Gina et Mariolino pendant la grêve) et un plan différemment monté au début (la scène des applaudissements).

La compression est merdique au possible. Avec mon petit PC de merde et mes petits logiciels à la con je fais beaucoup mieux !

[Manolito]

Premier titre de la série des "Don Camillo", ce film commence le jour où le communiste Peppone est élu maire de la petite ville rurale de la vallée du Po où se déroule l'action. L'archiprêtre, bien qu'ayant été ancien maquisard avec Peppone, vit mal cette victoire d'autant plus que les deux hommes ont des projets en compétition : la construction d'une maison du peuple d'un côté et d'une cité-jardin de l'autre...



Revoir "Don Camillo" aujourd'hui, c'est se replonger dans une époque un peu utopique de l'après-guerre, une époque de reconstruction de l'Italie où les forces en présence, même idéologiquement opposées, ne veulent plus tolérer la misère et le système encore quasi-féodal qui l'entretient de génération en génération. L'église et les communistes prônent ici la redistribution des richesses et l'action sociale face aux seuls vrais méchants désignés dans le métrage : les propriétaires des domaines agricoles. Des idées de la fondation de l'Europe dans les années 50, sur lesquels on va aujourd'hui à rebours...

Duvivier, déjà réalisateur de classiques comme "La belle équipe" ou "Panique" est déjà un metteur en scène reconnu, n'ayant déjà plus rien à prouver. Il signe avec un métier certain un film efficace, drôle, très bien joué par Cervi et Fernandel, non dénué d'un regard poétique sur la campagne italienne. Fernandel est exceptionnel en curé bagarreur, dans ce village où l'expression "querelle de clochers" est à prendre très littéralement. Certes, "Le petit monde de Don Camillo" paraît bien optimiste, simplifie beaucoup le débat quand même. Mais c'est certainement un film populaire européen de belle qualité.

Vu sur ciné + replay copie 1.33 4/3 VF.

[bluesoul]

Pas mieux que Manolito.

Au passage, je ne peux que recommander la lecture des recits originaux de Giovannino Guareschi.
(achete en francais, fin des 90s/debuts des 2000s en un volume plutot volumineux).

Truculent, poetique, anarchiste (sisi), parfois etonnament sombre , TRES comedia de'll Arte, mais toujours en phase avec cet etrange "petit monde" fantasme(?) de la campagne italienne. Du TRES bon "populaire" a l'ecrit et a l'ecran.

Full disclosure: la religion et le catechisme, n'ont JAMAIS ete ma tasse de the, mais pour Don Camillo, bibi a depuis toujours fait une exception! Sans rancune, hein, padre.