Pour mémoire, le film est sorti ern Blu Ray chez 88 Films en Grande Bretagne avec un nouveau master HD.
Edition avec pas mal de bonus : interview d'Umberto Lenzi, Q& A avec Ruggero Deodato et Me me Lay, commentaire audio avec Calum Waddell, doublage italiens et anglais avec sta, 2.35:1, 93mn, bouquin sur les films de cannibales italiens, et un documentaire sur Me Me Lay.
Cannibalis: Au pays de l'exorcisme - Umberto Lenzi - 1973
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
-
- DeVilDead Team
- Messages : 21531
- Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 9:09 am
- Localisation : Pyun City
Re: Cannibalis - Umberto Lenzi - 1973
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Re: Cannibalis: Au pays de l'exorcisme - Umberto Lenzi - 1973
Découvert (enfin) ce soir sur la copie de Néo : un peu déçu au final, je m'attendais à quelque chose de moins axée sur la romance, et l'utopie hippie. Rassimov a toujours été un très bon acteur, ici enfin mis en valeur (ce qui est chose rare au final, surtout en personnage principal) et Me Me possède un visage qui fait plaisir à voir (elle sourit quasiment tout le temps avec ses grosses joues non proportionnelles à son corps !
).
Un belle photographie, de bons acteurs, une belle partition, mais on s'ennuie quand même un peu, malgré un propos intéressant anticipant de 5 ans la vague cannibale. Une première esquisse avec beaucoup de morts/souffrances animales (généralement, ça ne me dérange pas du tout, je passe outre - étant un grand amoureux des animaux tout de même - mais il faut mettre l'église au milieu du village en se disant qu'il y a pire à l'abattoir du coin, hein) s'accumulant les unes derrière les autres comme des scènes hard dans un porno. Bref, c'est vraiment combler du vide par du vide.
Au final, un sentiment mitigé, surtout que je termine mon cycle cannibale par ce Lenzi, plus soigné que d'habitude en plus. Soit en fait : terminer par le commencement.
Un petit 3/6

Un belle photographie, de bons acteurs, une belle partition, mais on s'ennuie quand même un peu, malgré un propos intéressant anticipant de 5 ans la vague cannibale. Une première esquisse avec beaucoup de morts/souffrances animales (généralement, ça ne me dérange pas du tout, je passe outre - étant un grand amoureux des animaux tout de même - mais il faut mettre l'église au milieu du village en se disant qu'il y a pire à l'abattoir du coin, hein) s'accumulant les unes derrière les autres comme des scènes hard dans un porno. Bref, c'est vraiment combler du vide par du vide.
Au final, un sentiment mitigé, surtout que je termine mon cycle cannibale par ce Lenzi, plus soigné que d'habitude en plus. Soit en fait : terminer par le commencement.
Un petit 3/6