Dodgeball - Rawson Marshall Thurber (2004)

[Marti_McFly]

moi j'aimerais surtout savoir d'où sort la demoiselle de ton avatar..

[rusty james]

D'un institut de chirurgie esthétique nan ?

[MadXav]

moi j'aimerais surtout savoir d'où sort la demoiselle de ton avatar..

Mouaip, c'est sympa, on dirait du Sidaris... Faudrait un plan avec un explosion et un fusil d'assaut caché dans un anans pour en être sûr...

[haxandreyer]

[quote="Dragonball]Mais, finalement, n'est ce pas la caractéristique même de tout les films grands public, donner au spectateur ce qu'il est venu chercher, ne surtout pas le brusquer, le flatter, etc, etc .... ?[/quote]

Non

[Superwonderscope]

Personellement je trouverais çà racoleur ou "manipulateur" si je n'étais pas informé au départ de la trajectoire du récit, et de son caractère énorme..

Nous sommes d'accord sur le fond, mais dans le cas présent, Dodgeball est ultra-balisé dès l'affiche, dès les premières images du film, de la bande annonce...on sait qui sera le gentil, le méchant et qui va gagner et comment...

Les Scary Movie, moins bien écrit... ça reste à démontrer (qu'est-ce qu'un scénario "bien écrit" d'ailleurs, ça renvoie à pas mal de subjectivisme! ). Non pas que j'aime les Scary Movie (hormis le 3 ). Ils restent tous aussi mécanique dans l'écriture et dans leur finalité. Mais ils sont amplement plus transgressifs que ce Dodgeball-là!

[Pitchblack]

moi j'aimerais surtout savoir d'où sort la demoiselle de ton avatar...

Si je dévoile mes sources, faudra qu'elle te tue

D'un institut de chirurgie esthétique nan ? Hinhin

On leur donne un peu d'oestrogène dans ce forum, et ils dénigrent. Espèces de peine-à-jouir

Mouaip, c'est sympa, on dirait du Sidaris... Faudrait un plan avec un explosion et un fusil d'assaut caché dans un anans pour en être sûr...

Hé nan, ce n'est pas du Sidaris. Par contre je dois encore avoir d'autres photos avec du bazooka ou du tank, pour faire de jolis avatars con mucho machismo

Nous sommes d'accord sur le fond, mais dans le cas présent, Dodgeball est ultra-balisé dès l'affiche, dès les premières images du film, de la bande annonce...on sait qui sera le gentil, le méchant et qui va gagner et comment...

Les Scary Movie, moins bien écrit... ça reste à démontrer (qu'est-ce qu'un scénario "bien écrit" d'ailleurs, ça renvoie à pas mal de subjectivisme! ). Non pas que j'aime les Scary Movie (hormis le 3 Embarassed ). Ils restent tous aussi mécanique dans l'écriture et dans leur finalité. Mais ils sont amplement plus transgressifs que ce Dodgeball-là!

Disons, que je vois venir les gags d'un Scary Movie de beaucoup plus loin. Aprés çà m'empêche pas de rire à ces films. Mais sur les Ben Stiller, il y a toujours un moment ou je suis :D devant la bêtise ou la méchanceté d'une situation (les clés à molettes, Lance Armstrong...).
Peut être que c'est une question de mise en condition : devant un Stiller, je ne suis pas dans l'attente de l'effet sketch, donc il m'arrive d'être pris à contretemps.
Quant à l'écriture, si çà peut rester en débat scèniquement, pour les dialogues Stiller est un dieu : <<"There was a moment last night, when she was sandwiched between the two Finnish dwarves and the Maori tribesmen, where I thought, "Wow, I could really spend the rest of my life with this woman".>>

[bluesoul]

Bete, vulgaire, bas-de-plafond, synonyme d’un certain cinema destine aux masses américaines, balise, sans aucune surprise—AUCUNE, bref…

…J’AI ADORE !!

Bon (Full disclosure), je dois avouer que le film m’a pris par les c.uilles—je veux dire les sentiments, car ayant joue au ballon-prisonnier pendant mes années d’école primaire .

A ce titre, le film m’a rappele bien des souvenirs d’enfance: le fait d’être l’”arme secrete” de l’équipe qui me choisissait toujours en dernier, la tache qui m’incombait était d’attirer l’attention de l’équipe adversaire et de par mon elimination de permettre a mon équipe de contre-attaquer une équipe adverse deja fatiguée de me pilonner. (en fait, pour brouiller les pistes, ma propre équipe me pilonnait aussi—ca marchait a tous les coups!).

Le film m’a aussi rappelle la chaude camaraderie de notre équipe, qui ferait toujours notre victoire avec un “ballonnage” (en fait, c’est comme une lapidation, mais avec des ballons) auquel j’avais droit en tant qu’arme secrete qui avait permis notre victoire. Que de souvenirs.

Une coming-of-age-story comme je les aime. Le Stand by Me du ballon-prisonnier. J’espere qu’un jour Stiller ou Ferrell s’attaqueront au Water-polo, ce qui me permettra de me rappeler l’incident (i.e. en fait un "water-ballonage" suite a notre victoire) cause par mon équipe au lycée et a la suite duquel j’ai été dans le coma pendant 3 jours.

Dodge Ball: A True Underdog Story: 3.75 / 5 (un film a montrer en classe d’education physique pour motiver la jeunesse et lui inclure des valeurs éternelles telles la muscu qui vous offrira le status de dieu vivant, que les fritz sont tous gays, les niacks nuls, les femmes n’ont que leurs corps pour reussir, le pognon est important et les moches seront resteront toujours celibataires et, ah oui, que nous—qui sommes Dodgeballers, Cheerleaders, Basket-Ballers, adeptes de SM hardcore, cyclistes qui avons gagne le Tour de France charges comme des mulets(!) ou Cobras, sommes meilleurs que vous, bandes de minables!)

P.S. Le film manque par contre d’un theme musical qui aurait du poil a la poitrine. Quelque chose comme, tiens—