L'oiseau au plumage de cristal - Dario Argento (1970)
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Romain
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Re: L'oiseau au plumage de cristal - Dario Argento (1970)
40 spectateurs à Thionville... Une bien belle séance en plein match de 8ème de final. 
Visitez le site www.jaws-3d.com !
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dario carpenter
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Re: L'oiseau au plumage de cristal - Dario Argento (1970)
La version 4K proposée à la Cinémathèque actuellement propose-t-elle le film au format ou la version recadrée voulue par Storaro?:
https://www.cinematheque.fr/film/57306.html
https://www.cinematheque.fr/film/57306.html
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bluesoul
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Re: L'oiseau au plumage de cristal - Dario Argento (1970)
Vu sur Tubi.
D'emblee, je dois avouer avoir du mal avec les Giallos.(aie--pas la tete!).
Il y a beaucoup d'elements qui me plaisent, comme:
- le "piege" qui se referme sur le temoin qui est reduit a l'impuissance devant un acte de violence
- le cote design/artistique, quelque chose qui si on considere le Giallo comme un type de proto-slasher, sera degage fissa des slashers US qui font nettement moins travailles et conceptualises.
- des scenes vraiment bien realisees et executees, certaines dans la violence, d'autres dans la tension
Malheureusement, aussi pas mal de trucs de l'epoque qui passent moins bien et des tics du genre:
- le marchand en art visiblement gay, parce que...
(ca ne sert a a rien dans l'intrigue)
- l'artiste bizarre, limite chelou qui, touche de bon gout
- la resolution sur un twist (bien vu), mais rationalise avec une psychologie de fond de tiroir
- l'explication du titre...tellement sortie de nulle part qu'elle aurait gagnee a ne pas etre expliquee...
J'ai l'air mechant, mais j'ai bien aime (je connaissais le film et mon avis n'a pas vraiment change), mais comme dit, il y a du gras, un chouillat de n'imp, ce qui est dommage, parce qu'il y a un bon pitch, une plutot bonne enquete et un sacre realisateur en devenir.
Bref, difficile d'eviter ce qui reste (malgre quelques scories) un film-marqueur dans un genre.
Must donc, ne fut-ce que pour se faire une idee.
D'emblee, je dois avouer avoir du mal avec les Giallos.(aie--pas la tete!).
Il y a beaucoup d'elements qui me plaisent, comme:
- le "piege" qui se referme sur le temoin qui est reduit a l'impuissance devant un acte de violence
- le cote design/artistique, quelque chose qui si on considere le Giallo comme un type de proto-slasher, sera degage fissa des slashers US qui font nettement moins travailles et conceptualises.
- des scenes vraiment bien realisees et executees, certaines dans la violence, d'autres dans la tension
Malheureusement, aussi pas mal de trucs de l'epoque qui passent moins bien et des tics du genre:
- le marchand en art visiblement gay, parce que...
- l'artiste bizarre, limite chelou qui, touche de bon gout
Spoiler : :
- la resolution sur un twist (bien vu), mais rationalise avec une psychologie de fond de tiroir
- l'explication du titre...tellement sortie de nulle part qu'elle aurait gagnee a ne pas etre expliquee...
J'ai l'air mechant, mais j'ai bien aime (je connaissais le film et mon avis n'a pas vraiment change), mais comme dit, il y a du gras, un chouillat de n'imp, ce qui est dommage, parce qu'il y a un bon pitch, une plutot bonne enquete et un sacre realisateur en devenir.
Bref, difficile d'eviter ce qui reste (malgre quelques scories) un film-marqueur dans un genre.
Must donc, ne fut-ce que pour se faire une idee.
En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.