
Découvert donc il y a 2 jours ce nouvel opus de la franchise Halloween, nous refaisant le coup près de 20 ans après le très sympathique "Halloween H20" du "On efface tout et on recommence !" !
Sauf que bon, là, entre temps, les 2 films de Rob Zombie sont quand même passé par là, des films loin d'être exampts de tout défaut mais arrivant au final à se réapproprier le mythe d'une brillante façon et apportant une style visuel jusque là inédit dans la franchise (Présence en masse de vieille gloire hyper charismatique du bis, violence exacerbé, délires stylistique en tout genre, etc, etc ...)
On ne retrouve malheureusement pas grand chose de tout celà dans ce nouvel "Halloween", slasher lambda pas déplaisant mais, un peu à l'image de "the Predator" de Shane Black, faisant très souvent tache au sein du mythe "Halloween" !
Film de grosse feignasse, on à l'impression que les producteurs et le réal ont bidouillé un film autours d'une idée de base certes intéressante même si pas franchement originale (Laurie est devenue à moitié cinglé et attends depuis des années le retour de Michael Myers, ce qui l'a coupé de sa famille !) en y planquant une belle brochette de scènes et de personnages à la con ne servant quasiment à rien au niveau de l'intrigue : Les 2 reporters, qu'on auraient pu croire être parmi les personnages principaux de l'intrigue, se font buter au bout de 5 minutes, le petit amis de la petite fille de Laurie disparaît du film de manière bien artificielle, sa copine est là uniquement pour ce faire tuer, etc, etc ...
Michael Myers semble de plus ici avoir envie de buter à peu près la taire entière sans aucun motif, le film se permettant de plus de bazarder en une seule phrase un des étalements les plus important de la saga, à savoir que Laurie Strodes ne serait ne fait pas sa soeur ! (Super les mecs, vous pouviez pas faire pire pour plomber 40 ans de mythe !)
Sinon, à noter une sorte de semi twist bine naze (Et qu'on grille à des kilomètres !) avec le psy, des bonnes ellipses de merde (Mais Comment Michael s'est il échappé au final ?) et des références bien grossières (En gros Laurie ici, c'est Sarah Connors !)
Le film évite cependant le naufrage grâce à un certain sens d l'image de la part d'Adam Green, ce qui nous permets de voir quelques beaux plans durant le film et quelques scènes tout de même assez réussi, comme celles ou les malades mentaux errent sur la route !
Bref, tout ça n'est pas très enthousiasmant mais reste cependant moins problématique pour la franchise que ne l'est "The Predators" poru la saga initié par Mactiernanna !
Mais il s'en est fallu de peu hein !
