
Un pur bon giallo dans la grande tradition de ce genre transalpin. Il y a de l'hommage (6 Femmes pour l'Assassin) comme le cite dans sa longue interview Superwonderscope. Mais il y aussi une rassemblement de tous se qui permet typiquement se genre là de briller. Un film qui aurait facilement pu faire parti des 10 films sorti en DVD à leurs époque par feu l'éditeur Neo Publishing.
Ont ne peut que remercier le Chat qui Fume qui a eu la bonne idée de le sortir chez nous avec ce mois si Chats Rouges dans un Labyrinthe de Verre.
Contrairement au peut de post intéresses que j'avais pu en lire sur le forum. Ces RDV de Satan bénéficie d'une histoire certes linéaire, mais très bien intégré au récit narratif opérer par Guilliano Carnimeo, beaucoup de rebondissements, de dialogues savoureux bourré de sous-entendu qu'il pourrait prétendre à être un des titres phare du genre.
Ont y aborde des faits courants de cette nouvelle société des 70s (l'amour libre, homosexualité féminine), un lieu pratiquement unique l'immeuble ou se déroule les meurtres magnifiquement mise en image.
Une mise en scène qui a le mérite d'être rudement efficace et spectaculaire par moment, bien que reprise du Western comme le rappel Superwonder, de poser son cadre de jouer du plan rapprocher.
Mais pas seulement, on a aussi droit a de fantastique mouvement aérien et de retournement de cette caméra qu'approuverais aujourd'hui un réalisateur comme Ryuhei Kitamura.
Cela donne réellement une véritable dynamique a cette excellent thriller. Dont le score de Bruno Nicolai ajoute le plus qui le sort du lot.
Le final par contre sur le coup je n'est pas bien saisi du fait que j'ai vu le flm en 3 parties... Trop fatiguer de ma semaine malheureusement j'ai pas pu faire autrement.
Mais en me remettant le début j'ai pu faire comme Francis la fait le lien avec la cabine téléphonique, une séquence qui pourrait surprendre sur le coup. Mais nécessairement placer a cette endroit pour souligner le caractère critique et social utile dans notre société comme tous bon giallo savais le faire à son époque.
Concernant le BR, presque rien à redire le Chat à fait un travail fantastique comme à son habitude, seul ombre au tableau que j'ai pu croisé un artefact de compression (peut-être) sur le visage de Paola Quattrini à 30mn38s lorsqu'elle quitte son appartement pour demander un désinfectant à sa vieille voisine. Mais s'est vraiment le seul point noir

Coté des suppléments s'est assez conséquent pour un film je pense complétement inconnu pour la plupart de ceux qui non pas aborder le Giallo.
Avec pas moins de 3 bonus, l'un de Francis Barbier le plus long (34mn), l'interview du grand George Hilton (25mn) et la vedette Paola Quattrini (17mn).
Merci au Chat qui Fume d'avoir ressortir cette perle qui méritais largement d'être découverte ou revue, ont en espérait pas tant
