Comme Manolito

Encore une super production au budget pharaonique de 20 millions de dollars, tournée en 70 Mm Panavision. Par le réalisateur de Shame et Géant. Avec certaines séquences mises ne boite pas David Lean, et son tournage dans l'Utha et dans le désert du Nevada ce qui serait chose impossible aujourd'hui. L'une des dernières apparitions à l'écran de l'acteur Claude Rains


Un film que j'avais toujours placé derrière l'adaptation de Nicholas Ray, le Roi des Rois (1961) une vision plus pélumesque je dirais même si ce terme semble inventé par votre serviteur. Avec un technicolor de malade

Pourtant le film de George Stevens semblé recèle tout autant de qualité que ce dernier, étant plus porté sur l'histoire de son personnage principale incroyablement joué par le regretter Max Von Sydow qui ne tombe pas dans le l'excès ou la simplicité bêtement religieuse auquel ont à souvent droit dans ce genre d’œuvre. Il reste mesurer à chaque fois qu'il rend compte d'un miracle, prend assez de distance comme ont dit, et arrive à délivrer par la voix de son acteur principale des répliques divines qui ont encore du sens plus de 2000 ans après.
Et sans pour cela délaisser le spectateur avide de pur Péplum, malgré sa relative longueur, Stevens semble maitrisé son sujet

Sans doute une des plus belles adaptation de cette histoire.
Revu à la hausse, par le biais du BR sorti par Fox/MGM, All Zone (je pense

