Cliffhanger (1993) Renny Harlin

[Manolito]

Celui-là aussi est en train d'être restauré 4K chez Eclair...

[Lord Taki]

Reprise le lundi 27 mai dans le cadre du "Clap du lingo" à Nice.

[Machet]

C’est fou comme la seconde partie ne s’embarrasse d’aucuns plans de transitions. On saute d’un moment à un autre sans transition. On passe d’un décors ensoleillé à un décors embrumé, d’un extérieur à un studio en plastique, sans que jamais Harlin essaie de faire illusion. Bon, sans parler du fait qu’on bouge d’un sommet à un autre en deux temps trois mouvements. La bonne blague.

Malgré son énergie, je l’ai toujours trouvé un peu loupé ce film. Je n’ai jamais aimé l’idée paresseuse d’un décalque de Die Hard à une histoire qui aurait pu, qui aurait dû trouver sa propre voie. Comme pour son introduction, excellente, un modèle du genre, et aussi un Stallone émouvant avec sa tête de chien battu (caressant un cheval…) et puis la dernière réplique : « Et rappelle-toi bien connard, interdiction de descendre jusqu’à l’arrêt complet ! »