Decouvert sur Prime dans sa version 2K dans la foulee de Det sjunde inseglet (1957) du meme Bergman et la meme journee avec Teorema de Pasolini en dessertIn 14th-century Sweden, an innocent yet pampered teenage girl and her family's pregnant and jealous servant set out from their farm to deliver candles to church, but only one returns from events that transpire in the woods along the way.

Jamais vu auparavant meme si le pitch est connu via son (ahem!) "remake" trashouille par Wes Craven de Last House on the Left (1972)...que j'ai toujours trouve deprimant et surtout...ch.ant comme la pluie


Meme si la filiation avec ce qui allait devenir un genre par la suite est indubitable, on est loin de l'exploitation pour l'exploitation et la titillation pour la titillation que la plupart des films du cru allait montrer. Le recit du film est en fait tire d'une ballade suedoise du 13eme siecle https://en.wikipedia.org/wiki/T%C3%B6re ... W%C3%A4nge
Dans Jungfrukällan, le viol et brutal, sans pitie et ca fait mal pour la victime et son
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A noter aussi, que pour l'epoque (1957), c'est vraiment full frontal et en plein ecran. On est loin de Last Train from Gun Hill (1959) ou il me semble que le crime est "cache" par un tronc d'arbre ou quelque chose du genre.
Ajoutons que la vengeance du pere (Van Sydow) est egalement sans pitie et full frontal
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A voir, point barre!
P.S. Je le mets dans la section "fantastique" a cause de...la fameuse source et son origine (on suppose) miraculeuse (je sais, ca fait peu, mais bon).