Paul Verhoeven

[Cosmodog]

En même temps, c'est con, parque y'a que si Dieu existe qu'il aura les thunes pour mettre ça en image !!

[Fatalis rex]

C'est un livre, pas un scénario, même si Paulo a toujours voulu faire un film sur Jésus

[Machet]

Doc tourné au moment du mixage d'Elle, qui revient sur la carrière de Verhoeven. Diffusé hier soir sur Arte et disponible en "Replay 7 jours" ici (Merci à Verhoeven (celui de Devildead) pour le tuyau ) :

http://www.arte.tv/guide/fr/064449-000- ... country=FR

[Verhoeven]

De rien mon pote !!!

[comte vonkrolock]

Comme souvent avec s'est intéressent et complet. Un documentaire qui offre en une petite heure beaucoup de ces début à ce film réalisé en France, j'avais peur que sa ne focalise que sur ce dernier.

[Algor]

Doc tourné au moment du mixage d'Elle, qui revient sur la carrière de Verhoeven. Diffusé hier soir sur Arte et disponible en "Replay 7 jours" ici (Merci à Verhoeven (celui de Devildead) pour le tuyau ) :

http://www.arte.tv/guide/fr/064449-000- ... country=FR

Ha zut! On n'a pas accès à ce document dans notre pays, dixit la page sur ce lien!
On peut seulement voir le bonus qui donne l'eau à la bouche, et ajoute à la frustration.

Peut-être passera-t-il, éventuellement, sur un réseau du Québec?

Merci en tous cas pour l'info très intéressante.

Ma filmo favorite et subjective:

- Flesh + blood et Robocop. Mes deux premières rencontres avec le Paulo. Un double gifle en pleine gueule. Après, j'ai tout voulu voir de ce fou hollandais. Et ce fut très enrichissant!

- Starship troopers
Comme dit ailleurs, très bourrin façon militaire. Et surtout pas de "big star" qui vienne vampirisée l'écran. On s'attache à ces petits troufions, qui, sous une idéologie du bon soldat, vont se faire charcuter par des bestioles géantes.

- Spetters, Turkish delight et Katie Tippel
Cette période hollandaise absorbée toute d'un coup m'a laissé pantois. Qui a dit que la Hollande n'était pas un pays chaud!

-Soldier of Orange
Le Paulo filait un p'tit sentiment patriotique tout à fait correct, mais un peu sage. Bof, pourquoi pas après tout! Les américains nous noient dans leur cinéma/propagande depuis tellement longtemps...ça fait du bien de voir un autre regard de la guerre en Europe.

- Total Recall
J'aime bien la S.F. Au cas où cela n'était pas encore assez évident dans cette liste.
Néanmoins, malgré de bonnes trouvailles, y a Arnold la "Big Star" qui a profité de ce statut, sans réserve et humilité. Mais les personnages secondaires sauvent la mise par leurs bizarreries. Mars comme on ne l'avait pas encore vue!

[dario carpenter]

Paul Verhoeven voyage à la télé dans les 80's!:

[dario carpenter]

Nouveau projet de film français pour Paul Verhoeven après "Elle" et "Benedetta"..:

https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... ippe-Djian

[Cosmodog]

En fait y’a même 2 projets annoncés !

Top, je reste confiant en Verhoeven, même s’il n’est plus tout jeune.

[DPG]

Ses premiers films hollandais, qui étaient sortis en coffret DVD en France, épuisé depuis des siècles, est-ce que qqu'un sait si ça a une chance de sortir en BR un jour ?
Il y a des pb de droits ? Ca coute trop cher ? Tout le monde s'en fout ?

[Shinji]

Rencontre (limitée en places) avec Paulo le 30/06 à Paris pour sa biographie :
https://www.billetweb.fr/journee-paul-verhoeven

[igorfx]

Rencontre (limitée en places) avec Paulo le 30/06 à Paris pour sa biographie :
https://www.billetweb.fr/journee-paul-verhoeven

Ils commencent par Hollow man à 10 heures histoire de débuter en douceur.

[Stilleben]

À noter la sortie d'une biographie du réalisateur : Paul Verhoeven de Rob Van Scheers, Editions Aux forges de Vulcain

Je fais un copier-coller de l'extrait de la newsletter de L'Écran fantastique de ce w-e :

PAUL VERHOEVEN EN LONG ET EN LARGE

Aussi surprenant que cela puisse paraître, il n’existe, en France en tout cas, que bien peu d’étude sur ce cinéaste majeur qu’est Paul Verhoeven (citons un livre d’entretiens par Nathan Réa, chez Rouge profond et qui date de 2010). Aussi est-ce combler un vide que ce pavé de 750 pages, qu’on doit au critique et ami du réalisateur Rob van Scheers, néerlandais comme lui, dont l’ouvrage ne fait pas que suivre la carrière de Verhoven, mais intègre ses confidences, ce qui permet de plonger dans les processus de création et les liens avec la vie de celui qui vécut son enfance pendant la guerre et n’hésitera pas à déclarer à propos de son œuvre : «Un peu de guerre, c’est très excitant». Et aussi : «Je me fais généralement peu d’illusion sur la moralité de mes personnages principaux». Alors cynique, Verhoven ? On constatera à l’écouter que rien n’est simple pour quelqu’un qui, dans son pays, est invariablement démoli par la critique bien qu’il ait contribué à sauver presque à lui seul l’industrie du film néerlandais avec l’immense succès de son long métrage Turkish Délices, qui détient toujours le record du plus grand nombre d’entrées du cinéma néerlandais. Comme il ne peut être question, dans le cadre de cette notice, de suivre pas à pas une carrière dont le flambeau est le fameux Basic Instinct dont on suivra un tournage difficultueux, Michael Douglas n’acceptant qu’au bout de six mois de casting de tourner avec Sharon Stone, on retiendra au moins ces paroles de celui dont les trois cinéastes préférés sont Hitchcock, Ingmar Bergman et David Lean : «Les films qu’on voit enfant son déterminants pour notre futur goût créatif». Même s’il tient à ajouter, fausse modestie peut-être : «Tout m’est toujours tombé dessus. De tout ce que j’ai proposé, ce qui venait de moi, rien ne s’est jamais fait. J’ai fait ce qu’on me proposait. Mes films c’est à 70 % l’équipe et le casting. Moi je ne représente que 30 %, au mieux». Si les quelques 300 pages sure ses films hollandais, moins connus, sont précieux, le cinéphile plus attaché à son œuvre fantastique (cf. le très mal compris Starship Troopers) se passionnera pour sa carrière américaine, qu’on doit à Spierberg qui lui aurait dit : «Les Pay-Bas sont trop petits pour toi. Viens travailler ici». Passionnant, de la part d’un jeune homme de 87 ans, qui rêve toujours d’un film sur Jésus et n’a pas dit son dernier mot (Aux forges de Vulcain).