D'où (ou de qui plutôt) qui viennent les cris de bête au loin ? allucination collective ? les bêtes du parc sauvage

...quand on s'ennui devant un film qu'est-ce qu'on s'en pause comme question à la con !
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
oui et en même temps, tant que t'y es, rajoutes aussi que le film prône la chasteté et la fidèlité, et l'abstinence avant le mariage, parceque l'air de rien , ta mary ingalls, d'un certain point de vue, elle déssoude un type qui aurait bien voulu lui faire les fesses !!!Superwonderscope a écrit :
Et pendant ce temps-là, la petite aveugle Mary Ingalls est revenue à Walnut Grove avec son expérience de la ville, pas guére de son mal mais meilleure, plus expérimentée, et demeure au village pour enseigner à son prochain.
Il me semble qu'il est dit que ce sont des anciens, à tour de rôle. Maintenant, c'est vrai que lors de festins du village, leur absence devait donc se faire remarquer. Remarque je dis ça, mais à l'époque où je croyais au Père Noël, je me posais pas de question non plus.rusty james a écrit :Tiens çà me fait penser à un trucs.
D'où (ou de qui plutôt) qui viennent les cris de bête au loin ? allucination collective ? les bêtes du parc sauvage?
La, je suis tout a fait d'accord. C'est pour ca que je disais qu'il va falloir qu'il change de facon de faire assez rapidement, ca commence a devenir d'un lassant...Superwonderscope a écrit :C'est une marque de fabrique car en dehors des ficelles usées du pitch final, il prouve à mes yeux qu'avec Signs il ne sait pas terminer correctement ses films : il ne prend jamais le parti de ses idées, si ce n'est se tenir complice clin d'oeil "hé vous m'avez peut etre oublié mais je suis toujours là pour vous dire que je vous regarde toujours". Les cameos d'Hitchcock étaient autrement moins lourds de sens.
Et meme si c'etait le cas, qu'est-ce que ca fait ?Superwonderscope a écrit : Je ne le trouve pas désillusionné, comme film. Bien au contraire, il est bien conscient de ce qu'il colporte. Qui te dit que cette micro-société est vouée à l'implosion? Rien, d'un cote comme de l'autrre, on peut très bien croire que Bryce machin est rentré dans le rang et perdurera le secret et/ou qu'elle est revenue pour mieux faire sortir chacun de l'autisme social dans lequel ils sont plongés.
Oui, mais meme si elle perdure, je ne vois pas le probleme, ce n'est de toute facon pas pour le mieux. La situation peut se reproduire, on se rends compte de l'equilibre precaire de cette communaute et de l'aspect subversif de cette utopie.Superwonderscope a écrit : Si je me résume, le village :
* vit dans un mensonge le plus total
* tient grace à la peur de l'extérieur
* une donzelle se fait déflorer l'esprit en franchissant une barrière
rapporte ce qu'il y a de bon de l'extérieur à l'intérieur (donc est porteuse de la connaissance soigneusement sélectionnée)
l'utopie perdure (jusqu'à quand me direz-vous? c bien le problème, c'est que le spectateur n'a pas de réponse précise si ce n'est ce qu'il peut imaginer pour la suite... elle perdure donc. Dans le doute, je m'abstiens de penser qu'elle peut changer.
Certes, mais comme je disais plus en amont, ce que tu avances ici est aussi un présupposé.Haribo a écrit : J'aime le goût amer de cette fin et tout ce qu'elle sous-entend, et j'insiste j'y perçois enormement de désillusions et beaucoup moins de "communion" entre les intervenants (les expressions diffèrent selon les protagonistes présent lors du monologue d'Hurt). Quelque chose s'est cassé. Les questions les plus dangereuses pour eux sont à venir car cet épisode fait partie de leur histoire commune.
M'en fout moi j'ai niqué le palefrenier.Haribo a écrit :Et j'ai rien contre Mary Ingalls c'est vrai. Je lui aurai bien mis des baffes à une époque mais ca m'est passé.
T'enerves pas rusty, c'est de l'humour !!!rusty james a écrit :Moi qui aller m'emportais par exédent de générosité a taxé votre point de vue d'interessantet le bruit de vos dent qui racle le pavé façon ballade en voiture la portière ouverte vous connaissez !
Certes ils se posent des questions. Mais je ne vois rien se désagréger pour autant. Juste une jeune fille soignant son bien-aimé vers lequel elle est revenue (comme Mathilde)Haribo a écrit :Ah bah non. Pour moi la désagrégation s'amorce en fin du film avec la récupération de la mort d'un handicapé et les dissidences silencieuses à la voix commune du village.Superwonderscope a écrit : Certes, mais comme je disais plus en amont, ce que tu avances ici est aussi un présupposé.