). Dalton apelle à la rescousse, son veil ami et mentor Wade Garrett (Sam Elliot) pour qu'il vienne lui filler un coup de main.J'avoue que c'est loin d'être un chef d'oeuvre mais pourtant j'ai un grand faible pour ce film. Réalisé sans grand génie par Rowdy Herrington (le très mou Gladiator (92) et le même pas potable Murder of crows) mais écrit par le bourrin David Lee Henry (Justice sauvage avec un Steven Seagal bien facho et 8 millions de façon de mourir avec un Jeff Bridge en pleine forme) qui a bien mis en pratique les 12 étapes du héros du bouquin de Campbell. Le traitement façon western moderne fonctionne plutôt bien même s'il ne joue pas dans la finesse (mais après tout, c'est pas ce qu'on cherche avec ce type de films).
Le personnage de Sam Elliot est excellent (avec de vrais dialogues : "je ne suis pas venu ici pour te montrer mes couilles !") et j'aime beaucoup la relation qu'il a avec Swayze (une amitié virile mais sincère, humm !!!
.Patrick Swayze montrait qu'il était à l'aise dans le registre de l'action. Malheureusement, on n'a pu en profitter que dans l'excellent Point Break (pour moi, son meilleur film et son meilleur rôle).
La musique est plutôt bien utilisée (surtout les reprises péchues du Jeff Healey Band).
La scène où le bad guy Ben Gazzara, sur le vieux tube "sh-boom", zigzague avec sa voiture sur la route (qui lui appartient littérallement) me fait toujours bien marrer.
Les bastons sont correctes et la photo et les cadres sont sympas (le cinemascope y est pour beaucoup).
Kikiaime ?
et donc du coup, je l'ai rematté, et c'est aussi bien passé que dans mes souvenirs 
Très efficace et bien rythmé, une de ces série B qu'on ne se lasse jamais de regarder....pour moi en tous cas 
