Quand deux soeurs Charli et Leila font des ravages lors de leur premier stage dans une entreprise de mode basée à Rome, elles ne peuvent s'empêcher de profiter des charme de la ville. Mais immédiatement après avoir commencé leur stage, elles sont virées! Pourquoi? C'est ce que comptent bien découvrir Charli et Leila! Dans leur enquête, elles vont découvrir les paysages de Rome - la fontaine de Trevi, le Colisé, les marches de la place d'Espagne...
Tourné en 2002, "When In Rome" poursuit sur la lancée de "Passport to Paris" et "Winning London", à savoir la jeunesse américaine (aisée) à la découverte de l'exotisme européen. Mais contrairement aux deux opus pré-cités, les jumelles ne partent pas en vacances invitées par quelque oncle éloigné ou organisation humanitaire. Non cette fois-ci, ça rigole plus, elles vont être confrontées au monde impitoyable du travail... Enfin comme première expérience professionnelle, on peut dire que les scénaristes n'y sont pas allés avec le dos de la cuillère : préparation d'un café expresso, faire des photocopies, distribuer une pauvre lettre à l'autre bout de la ville. Tu parles de vacances !
Même pas le temps de se poser sur des marches et se faire peloter par des italiens. Sans compter qu'un boss mafieux leur met la pression. La vie est injuste avec les Olsen, on en est cette fois convaincu. Alors quand un jeune séducteur romain fait ses avances à Ashley, cette dernière est bien obligé de le freiner un peu (grande première quand même dans cette vidéo : les Olsen ne sont pas des filles faciles). De son côté, un jeune américain foufou amateur de jetski met en pétard Mary-Kate parce que quand même il profite trop de la vie ce gars, il sait pas ce que c'est que bosser comme une dingue ! Tout ça, ça va mal finir je vous le dis. Ben ouais, effectivement leur boss était un gros criminel, et effectivement le jeune américain est irrécupérable et ne se tapera jamais Mary-Kate ! La vache ! L'honneur est sauf tout de même.Techniquement le film s'en sort mieux que le précédent "Switching Goals", la réalisation est relativement soignée, le but étant principalement de mettre en valeur les décors Romains. Le fullscreen est toujours un peu dommage, mais moins déprimant que pour "Passport to Paris".
A noter sur le DVD une fin alternative à se pisser dessus ! On dit que le ridicule ne tue pas mais là...
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Du coup je suis obligé de développer un peu :
Je suis serieux la, non mais ho !