De toutes façons , Eli Roth est une valeur sure , il l'a prouvé .
Cabin Fever - Eli Roth (2002)
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
- Jérôme
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Re: Cabin Fever - Eli Roth (2002)
BR le 19 octobre chez Metro
http://www.planete-hd.com/La-rentree-de ... d7230c1bed
http://www.planete-hd.com/La-rentree-de ... d7230c1bed
Sa place est dans un Blu-Ray !
Re: Cabin Fever - Eli Roth (2002)
Est-ce qu'il s'agit de la version director's cut unrated ? :


Re: Cabin Fever - Eli Roth (2002)
Je ne sais pas si c'est la version director's cut mais c'est la même que celle sortie en France en DVD chez le même éditeur...farlane a écrit :Est-ce qu'il s'agit de la version director's cut unrated ?
-
bluesoul
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Re: Cabin Fever - Eli Roth (2002)
Vu apres tout-le-monde grace a Mazon Prime Japan et je rejoins les detracteurs: bouzin.
On sent Roth fan des 70s/80s et visiblement devenu real 1-2 decennie trop tard.
BIlan: Cabin Fever est un mash-up de films de Redneck (coucou a Delivrance) sans jamais reussir a reproduire le cote oppressant limite parano des protagonistes urbains, de contamination--pardon: contaminazione car tres typee all'italianna, lorgnant vers Fulci mais sans jamais retrouver le cote poesie morbide / macabre du maitre, traitant le tout comme un slasher Friday 13th-style a coup de baisouille, de (faux) ados
completement demeures (la party interrompue--WTF), de perigrinations completement a l'ouest, le tout mal joue (puree, le final "emprunte" a Night of the Living Dead, Roth ne doute de rien!)
soupoudrant le tout d'un soupcon de WTF (le gosse qui fait du Kung-Fu
).
Malgre la sincerite du real, ca reste trop cheap, trop n'imp, trop c.n.
Au final, Eli Roth n'aura ete qu'un (sympathique) bourrin, mais une parenthese neanmoins (sa carriere semble faire du sur place depusi un sacre moment).
Cabin Fever: perte de temps / 5
On sent Roth fan des 70s/80s et visiblement devenu real 1-2 decennie trop tard.
BIlan: Cabin Fever est un mash-up de films de Redneck (coucou a Delivrance) sans jamais reussir a reproduire le cote oppressant limite parano des protagonistes urbains, de contamination--pardon: contaminazione car tres typee all'italianna, lorgnant vers Fulci mais sans jamais retrouver le cote poesie morbide / macabre du maitre, traitant le tout comme un slasher Friday 13th-style a coup de baisouille, de (faux) ados
Malgre la sincerite du real, ca reste trop cheap, trop n'imp, trop c.n.
Au final, Eli Roth n'aura ete qu'un (sympathique) bourrin, mais une parenthese neanmoins (sa carriere semble faire du sur place depusi un sacre moment).
Cabin Fever: perte de temps / 5
En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.




