
Source : Internet.Berlin, 1964. Depuis que les forces de l'Axe ont gagné la guerre en 1944, la paix nazie règne sur l'Europe. Seule, l'Amérique a refusé jusqu'ici le joug. Mais dans quelques jours, le président Kennedy viendra conclure une alliance avec le Reich. Ce sera la fin du monde libre.
Deux meurtres étranges viennent perturber les préparatifs. Les victimes sont d'anciens S.S. de haut rang jouissant d'une paisible retraite. Chargé de l'affaire, l'inspecteur March s'interroge. S'agit-il d'un règlement de comptes entre dignitaires? Mais, s'il s'agit d'affaires criminelles, pourquoi la Gestapo s'intéresse-t-elle à l'enquête? Quelle est cette vérité indicible qui tuent tout ceux qui la détiennent et semblent menacer les fondations mêmes du régime? Le mystère s'épaissit et, dans Berlin pavoisée, les bourreaux guettent, prêts à tout pour étouffer dans la nuit et le brouillard les dernières lueurs de liberté.
Cette adaptation du roman de politique fiction de Roobert Harris, paru en 1992) aurait pu être intéréssante. Malheureusement, c'est loin d'être le cas.
L'adaptation "Fatherland" est en faite un petit téléfilm sans grands moyens (pourtant produit par HBO) et guère passionnant.
Tout est très cheap et il n'y a guère que la céréomnie finale, lorsque Hitler s'apprete à rencontrer le président des USA, qui fasse illusion.
Plus grâve encore, l'interprétation laisse franchement à désirer, que se soit celle de Rutger Hauer, sans éclat particulier, ou celle de Miranda Richardson, catastrophique.
Enfin, production US oblige, le film est évidement en anglais, ce qui nuit beaucoup à sa crédibilité, le ridcule étant même poussé jusqu'a l'extreme avec des slogans nazis placardé sur les mur de Berlin écrit dans la langue de Shakespear !


Bref, un sujet qui aurait aurait pû être passionnant, mais malheursement traité n'importe comment et expédié à la va vite (le film doit durée environ 1H40 alors qu'au moins 3 heures auraient été nécéssaire au developpement d'une intrgue de cette ampleur)
Triste.