
Nous sommes au 14ème siècle en Italie et de nombreuses personnes se comptent diverses histoires pour passer le temps. Des histoires drôles cocasses, folles, libertines... Mais la Peste n'est pas loin.
Premier volet de la Trilogie de la vie, celebrant l'amour et le sexe comme jamais. Pasolini dévoile quelques corps nus (surtout d'éphébes, puisque ça lui fait plaisir


Des histoires simples mais magnifiquement mises en scènes comme ce faux muet besognant des nonnes nymphomanes, ces jeunes amants separés par la mort, cette femme trompant son mari quasiment sous ses yeux, un gredin (Franco Citti) se faisant passer pour un saint et, la meilleure de toutes, un frippon (Nineto Davoli) vivant une petite poignée de mesaventures dont une chute peu délicate dans une fosse à merde


Et puis Pasolini incarne de son côté un peintre fasciné par la vierge Marie , apparaissant sous les traits de Silvana Mangano.
Splendide (et à revoir d'ailleurs pour ma part), mon volet favori de La fameuse Trilogie de la vie.
