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Bati autour d'Olivia, alors au zenith de sa gloire juste après Grease, le film se révéla une catastrophe financière. Un giga-bdget pour l'époque et la efilm ne se rentabilisa que grace à la location video et aux ventes à l'étranger. un coup d'arret en tous cas pour beaucoup qui ont participé au film.
Véritable comédie musicale, à mi chemin entre l'hommage aux années 40, productions léchées des années 60 et matinée de rythmes, visuel et chorégrahies 80's (sanc ompter sur le bout des lèvres l'espèce de folie roller-disco éphèmère de la fin des années 70), le film échoua hélas, déjà dépassé avant même d'etre sorti sur les écrans.
Quand bien même...
Quand bien même tout cela, il gagna un espèce de statut culte aux yeux
1/ des fans d'Olivia
2/ des fans d'ELO
3/ aux vues de la résurgence des années 80 dont il est un espèce de truc glitz kitsch résistant bizarrement au temps.
Au final, l'histoire est certes très fine (La muse Kari (Olivia) est envoyée sur Terre afin d'inspirer un dessinateur de pochette de disques (Michael Beck) et qu'il réalise ses rêvs d'artiste. Et pour pouvoir échapper au monde du marketing et du conformisme. Il va rencontrer Gene Kelly, en panne de reves lui aussi, et monter un gigantesque club de danse. Et l'amour, ah, l'amour, va venir troubler tout cela.
Comme pour les comédies musicales des 40's, les arguments sont minces et tout est mis à profit afin d emettre en avant les chansons. ici, composées par Electric Light Orchestra, certaines écrites par John Farrar pour Olivia.
Gene Kelly, dont le nom de Danny MacGuire est celui qu'il porte dans Covr Girl de Charles Vidor en 1944, y fait sa dernière apparition cinéma. il y est d'ailleurs toujours étincelant en danseur hors pair et demeure le seul à échapper au ridicule. très classe, meme dans la tonitruante scène finale en roller.
L'interprétation est médiocre (Michael Beck est



Seul le final semble se réveiller et toute la magie explose sur l'écran. la piste sonore rend d'ailleurs bien hommage à ce mélange de sons rock, des images criardes fin 70's début 80's, la caméra virevolte... bre,f ce sont dix minutes que je me repasse très souvent pour avoir la patate!
Petites choses amusantes :
1/ Le mari en devenir d'Olivia Newton John, Matt Latanzi, joue le role de Gene Kelly jeune.
2/ Le compositeur Ira Newborn (collaborateur régulier de tous les John Hugues des 80's) joue le role du chef d'orchestre lors de la séquence des années 40
3/ la (jolie) séquence animée a été réalisée par Don Bluth
4/ Coral Browne(Theatre de Sang, Le secret de Lylah Clare, Qui a Tué Sister George...) fait la voix de Junon
5/ Sandahl Bergman (Conan, She) joue le role de la première muse à s'animer sur le mur au début du film.
La bande originale de ELO est toujours aussi bien torchée, mélange (justement) de composition orchestrales et de rock, qui collent parfaitement à l'ambiance du film. Et que j'écoute souvent
