The return of Doctor X (1939) - Vincent Sherman
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The return of Doctor X (1939) - Vincent Sherman
Seule incursion de Bogart dans le registre de fantastique. JPP est plutot entousiaste sur ce film ds ses "Craignos monsters". Quelqu'un l'aurait il vu ???
"J'ai essayé de me suicider en sautant du haut de mon égo. J'ai pas encore atteri... "
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Un des rares fims de série B de la Warner, qui avait juste ouvert son département B en 1936 sous la houlette de Bryan Foy.
Tourné par Vincent Sherman en 1939, le film a été exhumé des tréfonds du bis des années 30 because of Borgart. Il est ici un condamné à mort ramené à la vie, très peu de présence à l'écran. Cela faisiat partie d'un deal qu'il avait avec Warner et fut obligé de le tourner.
Le film reste assez dispensable mais jamais ennuyeux. Il ne s'agit pas d'un quelconque séquelle comme le laisse présager le titre.
Tourné par Vincent Sherman en 1939, le film a été exhumé des tréfonds du bis des années 30 because of Borgart. Il est ici un condamné à mort ramené à la vie, très peu de présence à l'écran. Cela faisiat partie d'un deal qu'il avait avec Warner et fut obligé de le tourner.
Le film reste assez dispensable mais jamais ennuyeux. Il ne s'agit pas d'un quelconque séquelle comme le laisse présager le titre.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
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Manolito a écrit :Ce film Warner est sorti en France au cinéma, mais il est quand même très rare (inédit en vidéo notamment). Je crois qu'il est passé sur le câble il y a quelques temps (TCM ?), mais cela demance tout de même à être confirmé.
Ciné FX plein de fois !!!!


Not only does God play dice, but... he sometimes throws them where they cannot be seen - Stephen Hawking
Je n'attendais pas grand chose de cette série B Warner surtout connu pour avoir été une punition infligée par le studio à un Bogart qui n'était pas encore une Star...
Il s'agit pourtant d'un film très bien fait, dynamique, bien joué et mis en scène. Le panachage humour - SF - Mystery s'avère des plus heureux, et s'il ne s'agit pas d'une suite du "Docteur X" on retrouve tout de même des éléments communs...
GROS SPOILERS
le sang artificiel remplace la chair artificielle comme enjeu sciénetifique ; par ailleurs, le personnage de Bogart rappelle, aussi bien par son parcours que par son look, celui de Karloff dans "Le mort qui marche"
FIN SPOILERS
Globalement une bonne surprise, un bon moment de fantastique qui mérite mieux que le strapontin qu'on lui réserve habituellement dans la mémoire du cinéma fantastique...
Vu sur CineFX. Et là, ridicule...
Le film est en noir et blanc !!
Allons, détendez-vous, je plaisaaaaannte bien sûr...
Très bonne copie en VOSTF, format 1.33 respecté, pas de signalétique, noir et bolanc d'origine il va sans dire. Bref, vous pouvez faire chauffer le graveur ! 
Il s'agit pourtant d'un film très bien fait, dynamique, bien joué et mis en scène. Le panachage humour - SF - Mystery s'avère des plus heureux, et s'il ne s'agit pas d'une suite du "Docteur X" on retrouve tout de même des éléments communs...
GROS SPOILERS
le sang artificiel remplace la chair artificielle comme enjeu sciénetifique ; par ailleurs, le personnage de Bogart rappelle, aussi bien par son parcours que par son look, celui de Karloff dans "Le mort qui marche"
FIN SPOILERS
Globalement une bonne surprise, un bon moment de fantastique qui mérite mieux que le strapontin qu'on lui réserve habituellement dans la mémoire du cinéma fantastique...
Vu sur CineFX. Et là, ridicule...




Allons, détendez-vous, je plaisaaaaannte bien sûr...




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Manolito, tu m'as chipé ma plaisanterie, j'allais refaire le coup du "ridicule" pour causer un infractus à Meltingman
C'est vrai que çà n'a aucun rapport avec le film de Curtiz, mais c'est plutôt pas mal, mieux que ce qu'on en dit généralement... Par contre, la mèche blanche de Bogart, elle vient en droite ligne du "Mort qui marche", avec Karloff, produit par le même studio et dirigé par... Michael Curtiz, tiens tiens...

C'est vrai que çà n'a aucun rapport avec le film de Curtiz, mais c'est plutôt pas mal, mieux que ce qu'on en dit généralement... Par contre, la mèche blanche de Bogart, elle vient en droite ligne du "Mort qui marche", avec Karloff, produit par le même studio et dirigé par... Michael Curtiz, tiens tiens...
Zut ! Sur ce coup-là, tu ne pourras plus nous l'énerver... Il aurait été capable de nous déguoter une version 3D inédite du film, qui sait ?fantomas 2 a écrit :Manolito, tu m'as chipé ma plaisanterie, j'allais refaire le coup du "ridicule" pour causer un infractus à Meltingman![]()

Le Cancre qui rivalise enfin avec les escargots.
La maxime du mois :
"Les ordinateurs, plus on s'en sert moins, moins ça a de chance de mal marcher."
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Re: The return of Doctor X (1939) - Vincent Sherman
Suite a son annonce—apparemment erronnee—du meurtre d’une actrice, un journaliste se retrouve a enqueter sur la “fausse victime”, alors que parallelement, plusieurs autres personnes semblent etre assassinees au hasard, mais selon ce qui aurait du etre le modus operandi du premier (“faux”) meurtre; le corps vide de leur sang…
Moins une suite au Doctor X de Michael Curtiz (1932) , qu’un film a enigmes (mortelles) se deroulant dans l’univers medical et mettant en vedette un (autre) journaliste (neanmoins tout aussi irritant que Lee Tracy dans l’original) interprete cette fois par Wayne Morris, ainsi que quelques autres personnages copies-carbones de ceux du film original, la plus grande originalite du metrage, sera cependant la participation de Humphrey Bogart dans le role de l’etrange M. Quesne (pronounce “Caine”).
Meme si, tel le Dr. X original, le metrage trahit des origines theatrales, il s’agira cependant cette fois de l’adaptation d’un roman publie en serial. Un frein aura ete neanmoins mis aux extremes narratifs du recit original (du cannibalisme quand meme(!) ), et les meurtres (sans aucun traitement “graphiques” eux non plus d’ailleurs) se limiteront a de “simples” assassinat au couteau (scalpel?) doubles de saignees et transfusions sinistres.
Bogart dans le role du sinistre de service, loin de son image d’icone du cinema “hard-boiled” en noir et blanc d’avant et après-guerre, semble quand meme un tantinet ridicule—plutot qu’inquietant, surtout affuble de sa meche blanche(!) et de sa coupe au carre.
Occasionnellement et selon les angles de camera, sa mise en image parait “sinistre”, et l’on se prend a penser qu’avec un meilleur jeu de camera et de mise en scene, une plus grande constance—et un meilleur impact aurait pu etre obtenu quant a son personnage.
L’interpretation est plutot standard—ni memorable, ni mauvaise non plus d’ailleurs. Bogart livrant plus une performance de type “gangster”, laissant a son “look” et au realisateur le loisir de mettre son personnage mal a l’aise le spectateur, tandis qu’autour de lui, les autres acteurs se bornent a suivre le scenario, plus ou moins en “pilotage automatique”.
L’un dans l’autre, la difference d’un metrage a l’autre, semble etre due au talent de Curtiz, qui a reussit une nettement meilleure composition visuelle avec le film original. Sans ce traitement, le film (ici, sa “suite”) se situe a un niveau deja nettement moins interessant, et risquerait de plutot rester anecdoctique, s’il n’y avait, justement, la presence de Bogart parmi le casting.
Le film, se laisse cependant voir grace, pour un tant soit peu que l’on ne soit pas refractaire aux films de genre de l’epoque, comme il devait s’en realiser a la chaine en ces jours-la. Si le charme de l’ensemble est desuet, il operera neanmoins assez pour passer un sympathique (mais pas inoubliable) moment.
A voir, plus pour la curiosite generee par la presence de “Bogey” aupres des fantasticophiles, que pour les completistes du grand acteur de films noirs.
The Return of Doctor X: 3.25 / 5
Moins une suite au Doctor X de Michael Curtiz (1932) , qu’un film a enigmes (mortelles) se deroulant dans l’univers medical et mettant en vedette un (autre) journaliste (neanmoins tout aussi irritant que Lee Tracy dans l’original) interprete cette fois par Wayne Morris, ainsi que quelques autres personnages copies-carbones de ceux du film original, la plus grande originalite du metrage, sera cependant la participation de Humphrey Bogart dans le role de l’etrange M. Quesne (pronounce “Caine”).
Meme si, tel le Dr. X original, le metrage trahit des origines theatrales, il s’agira cependant cette fois de l’adaptation d’un roman publie en serial. Un frein aura ete neanmoins mis aux extremes narratifs du recit original (du cannibalisme quand meme(!) ), et les meurtres (sans aucun traitement “graphiques” eux non plus d’ailleurs) se limiteront a de “simples” assassinat au couteau (scalpel?) doubles de saignees et transfusions sinistres.
Bogart dans le role du sinistre de service, loin de son image d’icone du cinema “hard-boiled” en noir et blanc d’avant et après-guerre, semble quand meme un tantinet ridicule—plutot qu’inquietant, surtout affuble de sa meche blanche(!) et de sa coupe au carre.
Occasionnellement et selon les angles de camera, sa mise en image parait “sinistre”, et l’on se prend a penser qu’avec un meilleur jeu de camera et de mise en scene, une plus grande constance—et un meilleur impact aurait pu etre obtenu quant a son personnage.
L’interpretation est plutot standard—ni memorable, ni mauvaise non plus d’ailleurs. Bogart livrant plus une performance de type “gangster”, laissant a son “look” et au realisateur le loisir de mettre son personnage mal a l’aise le spectateur, tandis qu’autour de lui, les autres acteurs se bornent a suivre le scenario, plus ou moins en “pilotage automatique”.
L’un dans l’autre, la difference d’un metrage a l’autre, semble etre due au talent de Curtiz, qui a reussit une nettement meilleure composition visuelle avec le film original. Sans ce traitement, le film (ici, sa “suite”) se situe a un niveau deja nettement moins interessant, et risquerait de plutot rester anecdoctique, s’il n’y avait, justement, la presence de Bogart parmi le casting.
Le film, se laisse cependant voir grace, pour un tant soit peu que l’on ne soit pas refractaire aux films de genre de l’epoque, comme il devait s’en realiser a la chaine en ces jours-la. Si le charme de l’ensemble est desuet, il operera neanmoins assez pour passer un sympathique (mais pas inoubliable) moment.
A voir, plus pour la curiosite generee par la presence de “Bogey” aupres des fantasticophiles, que pour les completistes du grand acteur de films noirs.
The Return of Doctor X: 3.25 / 5
En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.
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- Localisation : Enfer, près du radiateur avec le diable
Re: The return of Doctor X (1939) - Vincent Sherman
Moi je préfère ce film au premier Docteur X!
Attention: message incompréhensible et cryptique...