Bon, arretez de pousser. Euh, je me lance.
Sur le coup (de l'emotion, bien sur); Elephant Man. Ca rate pas a aucune vision...
Ajout; Le Tombeau des Lucioles, oui, mais tendance cafardeux quand meme. Vu seul, pas arrete de chialer. Revu avec ma mere, tres vite commence a chialer (tres vite rejoint par ma mere, d'ailleurs!

)
Dans un genre different: Wa ga Seishun no Arcadia / Arcadia of my Youth (a.k.a. Albator 84 le film--mais en VO, quand meme). Elephant Man est battu a plat de couture. Avec EM je trouve le moyen de hoqueter de temps a autre, mais avec Arcadia, c'est du non-stop.
De l'ouverture avec le defi insense (et funeste) lance par Phantom F. Harlock a la sorciere de Stanley, a la tentative de sauvetage de refugies avortee d'Harlock, de sa decheance dans le bas-fonds, son serment d'amite avec Tochiro, l'amitie de leurs ancetres pendant la deblace nazie, l'assassinat de la fiance de Harlock, son banissement de la terre, etc, etc. Je pleure comme une madeleine...
Je suis donc on ne peut plus "client" de la poesie que voue Leiji Matsumoto a l'"Ocean noir des Etoiles" et de son irresistible(?) "otoko-no-romance" (romance virile / masculine). J'ai l'integrale de la BOF en XX CDs et les ecoute a chaque fois la larme a l'oeil...
"Taiyo wa shinanai" ("The Sun will not die") Non, il ne mourra pas, pas tant qu'il reste une once de vie...

En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.