
C'est mon premier Nikkatsu Pink machin et autant dire que j'ai pas vraiment aimé. Un scénario qui ne va nulle part, sauf dans les recoins les plus extrêmes du (on va l'appeler comme ça) Rapesploitation.
On a donc un violeur en série (que j'ai cru comprendre s'appeler "Crimson") qui passe son temps à violer des femmes en compagnie d'un jeune protégé. Le premier viol d'une ballerine fait que le protégé ne peut pas jouir. Mais il prend gout au viol et, ben, il recommence, armé d'une clé à mollette trouvée en pleine nature (ben voyons). Ils sont poursuivis par un gang de trois gays voulant de venger de l'assaut contre leur chef.
Pourquoi?
Parce que.

Il y a quelque chose qui m'échappe dans ce truc bien lubrique, violent et dans la grande tradition de la violence misogyne. Sans parler de la légitimation du viol (en gros, il y en a au moins deux qui aiment ça et qui en redemandent). Qui plus c'est, c'est assez chiant car il n'y a aucun scénario à proprement parler. L'auteur semble intéressé par mettre en scène... que des viols. Bon, il devait y avoir un marché, j'imagine. D'autant qu'il n'y a que les nanas qu'on voit à poil, dans cette grande tradition machiste du film d'exploitation

Une scène autre avec le chef des gays (tous parés de colliers, histoire de bien comprendre

Puis dans les dix dernières minutes, le film pousse un peu plus loin avec deux moments où je me suis dit "ah ouais, quand même"!
tout d'abord :
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Nikkastu-Scope 2.35:1
73mn