Thriller mexicain (dont une partie du sujet fait penser au redoutable Hidden Rage avec Deborah Shelton) au budget relativement absent, mais qui réussit à développer un certain malaise, développant deux histoires parallèles qui finiront, inévitablement , par se rejoindre au final. Le prédateur sexuel en question s'est fait lui même infecté à son insu par le virus et agit en vengeance, obsédé par la douleur, à l'image de Saint Sébastien, dont sa maison regorge de représentation picturales.
L'inspecteur retrouve des photos prises qui se révèlent être celles des victimes du prédateur, droguées et violées. Dès lors, Il devient assez rapidement devinable que
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C'est strictement fonctionnel d'un point de vue cinéma, tourné en DV, mais pour un film mexicain (abusivement présenté comme un "giallo mexicain" sur la jaquette), le sujet est assez pointu et quelque peu "brulant". Quota de chair masculine, tout en restant très soft mais filmé comme un téléfilm M6 de fin de soirée. Pas de nudité frontale pour ceux qui auraient peur

Honnête mais dispensable, même si le scénario tente des thématiques intéressantes sur la douleur et le plaisir, culminant avec
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