Qu'a-t-il bien pu se produire dans la tête de Stan Winston pour que celui-ci participe fièrement au projet de ce film en tant que producteur et maquilleur ? En effet, Détour Mortel ne révèle rien d'autre qu'une minable petite production horrifique formatée pour teenagers, se voulant en même temps un retour à l'horreur brute des années 70, mais échouant au final complètement son but. La réalisation est moche (photographie très terne), tout juste digne d'un téléfilm du dimanche après-midi, l'interprétation lamentable (aucune crédibilité dans le jeu de ces jeunes et bellâtres comédiens, qui feraient mieux de rester dans le milieu de la sitcom), les rebondissements tous plus prévisibles les uns que les autres, et il ne se passe au final pas grand chose dans cette escapade en forêt monotone, forêt dans laquelle vivent par ailleurs quelques cannibales affublés de maquillages pour le moins grotesques. Rajoutons à cela quelques effets en CGI à la sauce 2003 qui aparaissent déjà comme complètement datés et mal fichus en 2006. Grosse déception également à l'encontre des meurtres du film: on parlait de Gore alors que tout est plus ou moins filmé hors-champ, à la manière des slashers les plus gentillets qu'il y ait eu, comme Souviens-toi l‘été dernier. Cet insipide et mollasson Détour Mortel n'est qu'un avatar aseptisé de Massacre à la tronçonneuse pour l'environnement et de Scream pour l'ambiance, dont on est en droit de rester pantois face au succès public et même critique qu'il a pu récolter lors de sa sortie. Reste, la plastique louable des deux actrices...
Wrong Turn / Détour mortel - Rob Schmidt (2003)
Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team
En copiant/collant ci-dessous cet avis de mes soins, je vais également faire partie des détracteurs de ce survival aussi offensif qu'un Walt Disney et molasson comme une bedaine avec trop de cellulite.
Qu'a-t-il bien pu se produire dans la tête de Stan Winston pour que celui-ci participe fièrement au projet de ce film en tant que producteur et maquilleur ? En effet, Détour Mortel ne révèle rien d'autre qu'une minable petite production horrifique formatée pour teenagers, se voulant en même temps un retour à l'horreur brute des années 70, mais échouant au final complètement son but. La réalisation est moche (photographie très terne), tout juste digne d'un téléfilm du dimanche après-midi, l'interprétation lamentable (aucune crédibilité dans le jeu de ces jeunes et bellâtres comédiens, qui feraient mieux de rester dans le milieu de la sitcom), les rebondissements tous plus prévisibles les uns que les autres, et il ne se passe au final pas grand chose dans cette escapade en forêt monotone, forêt dans laquelle vivent par ailleurs quelques cannibales affublés de maquillages pour le moins grotesques. Rajoutons à cela quelques effets en CGI à la sauce 2003 qui aparaissent déjà comme complètement datés et mal fichus en 2006. Grosse déception également à l'encontre des meurtres du film: on parlait de Gore alors que tout est plus ou moins filmé hors-champ, à la manière des slashers les plus gentillets qu'il y ait eu, comme Souviens-toi l‘été dernier. Cet insipide et mollasson Détour Mortel n'est qu'un avatar aseptisé de Massacre à la tronçonneuse pour l'environnement et de Scream pour l'ambiance, dont on est en droit de rester pantois face au succès public et même critique qu'il a pu récolter lors de sa sortie. Reste, la plastique louable des deux actrices...
Qu'a-t-il bien pu se produire dans la tête de Stan Winston pour que celui-ci participe fièrement au projet de ce film en tant que producteur et maquilleur ? En effet, Détour Mortel ne révèle rien d'autre qu'une minable petite production horrifique formatée pour teenagers, se voulant en même temps un retour à l'horreur brute des années 70, mais échouant au final complètement son but. La réalisation est moche (photographie très terne), tout juste digne d'un téléfilm du dimanche après-midi, l'interprétation lamentable (aucune crédibilité dans le jeu de ces jeunes et bellâtres comédiens, qui feraient mieux de rester dans le milieu de la sitcom), les rebondissements tous plus prévisibles les uns que les autres, et il ne se passe au final pas grand chose dans cette escapade en forêt monotone, forêt dans laquelle vivent par ailleurs quelques cannibales affublés de maquillages pour le moins grotesques. Rajoutons à cela quelques effets en CGI à la sauce 2003 qui aparaissent déjà comme complètement datés et mal fichus en 2006. Grosse déception également à l'encontre des meurtres du film: on parlait de Gore alors que tout est plus ou moins filmé hors-champ, à la manière des slashers les plus gentillets qu'il y ait eu, comme Souviens-toi l‘été dernier. Cet insipide et mollasson Détour Mortel n'est qu'un avatar aseptisé de Massacre à la tronçonneuse pour l'environnement et de Scream pour l'ambiance, dont on est en droit de rester pantois face au succès public et même critique qu'il a pu récolter lors de sa sortie. Reste, la plastique louable des deux actrices...
- eric draven
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Just before dawn n'est certes pas gore mais au moins il fonctionne, LUI!Dragonball a écrit :Oh la la, va falloir j'aille voir ce que tu disais de Just Before (Bzzzzzzzzzzzzzz) Dawn toi !
Quand je le lis que cette molassonnerie d'une totale incoherence est le revival du survival, j'ai reellement peur... car ce n'est jamais rien d'autre qu'un film synthesiste qui pioche à droite, à gauche tous ces élèments en les inserant gravement autour de personnages transparents- ce qui n'est pas le plus grave ici- et SURTOUT dans un scénario totalement improbable.. avec 2003 oblige des images de synthese... Les forets de synthese.....
En guise de passe-temps ou de distraction, c'est acceptable, passé ce cap, c'est soit risible soit consternant.
Hostel, Wrong turn même combat finalement!
Si on veut parler de revival du genre, qu'on me parle de Wolf creek et là Eric sera d'accord.
Je pourrais vous tuer mille fois jusqu'aux limites de l'éternité si l'éternité possédait des limites.
MES FILMS: http://sd-1.archive-host.com/membres/up ... lms_56.rtf
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- Dragonball
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Ben, étant donné que tout a quasiment été dit sur le genre dans les années 70 et 80, difficile de se montrer innovant, surtout lorsqu'on a affaire à un genre aussi codifier que le survivale. On ne peut guère reprocher à "Wrong turn" de décliner le même schéma que les autres survivals puisque ce schèma est tout simplement une des règles fondamentale du survival (un groupe d'individu, le plus souvent vulnérable, plongé dans un milieu hostile et poursuivie par une menace un premier temps indeterminée).eric draven a écrit : Quand je le lis que cette molassonnerie d'une totale incoherence est le revival du survival, j'ai reellement peur... car ce n'est jamais rien d'autre qu'un film synthesiste qui pioche à droite, à gauche tous ces élèments en les inserant gravement autour de personnages transparents- ce qui n'est pas le plus grave ici- et SURTOUT dans un scénario totalement improbable.. avec 2003 oblige des images de synthese... Les forets de synthese.....![]()
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Molasson, ouais, dans "The burning" aussi on se fait chier durant un bout de temps, au milieu du film plus précisément. ça ne l'empèche pas d'être un excellent slasher. Et les personnages y sont aussi tout ce qu'il y a de plus transparents, même si c'est vrai que la vacuité des persos est plus une caractéristiques du slasher à la Vendredi 13 (comme The Buirning quoi) que des survivals ou les perso sont généralement beaucoup plus developpé comme dans Délivrance, Sans Retour ou Calvair
Et puis oui, "Wrong turn" a marqué le retour de films d'horreur beaucoup plus hard après la vague des slhsar post scream, qui était beaucoup moins fun et surtout moins gore.
- Dragonball
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Je comprends qu'on puisse trouver Wrong Turn désuet, gentil, con, etc.
Par contre, je pige assez mal qu'on puisse lui en vouloir, au point de le détester. Comment détester un film truffé de bonnes intentions ? Après 10 ans de Slasher cynique, Wrong Turn marque un retour au 1er degré, tendance 70's. Edulcoré si vous voulez, formaté si vous voulez, mais il roule néenmoins sur la bonne route, celle des bons films.
Par contre, je pige assez mal qu'on puisse lui en vouloir, au point de le détester. Comment détester un film truffé de bonnes intentions ? Après 10 ans de Slasher cynique, Wrong Turn marque un retour au 1er degré, tendance 70's. Edulcoré si vous voulez, formaté si vous voulez, mais il roule néenmoins sur la bonne route, celle des bons films.
Il y a un p'tit détail qui me chiffonne
- eric draven
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Bonnes intentions oui... c'est louable.. mais le plus gros défaut de ce film ce n'est NI ses personnages transparents ce qui est récurrent au genre et aux slashers, NI le coté molasson qu'il prend parfois, encore moins le coté synthesiste de l'ensemble MAIS l'INCOHERENCE du scénario, son INDIGENCE et le déroulement de l'histoire, c'est ce qui m'a le plus géné et rendu impossible de fait de croire à cette histoire. Si j'avais un peu de temps ici je pondrais la liste des incoherences ce que je ferais surement une fois chez moi...
Alors oui, c'est distrayant, c'est gentil, c'est 80mn qui fonctionnent sur le plan horrifique et par moment du suspens.
je ne le deteste pas mais suis trés décu et un peu irrité qu'on l'encense a ce point. On peut tout de même sans etre trop exigeant désirer quelque chose de plus fouillé et qui scénaristiquement tient la route, toute louables que soient les intentions de Bob Schmidt.
Comme je l'ai deja dit, a comparer de Wolf creek, il ne tient pas la route qui pour moi est un exemple parfait du survival années 2000.
Et je digère mal en plus dans un survival ces plans hideux de forets de synthese.
J'ai failli frisé l'arret cardiaque!
Alors oui, c'est distrayant, c'est gentil, c'est 80mn qui fonctionnent sur le plan horrifique et par moment du suspens.
je ne le deteste pas mais suis trés décu et un peu irrité qu'on l'encense a ce point. On peut tout de même sans etre trop exigeant désirer quelque chose de plus fouillé et qui scénaristiquement tient la route, toute louables que soient les intentions de Bob Schmidt.
Comme je l'ai deja dit, a comparer de Wolf creek, il ne tient pas la route qui pour moi est un exemple parfait du survival années 2000.
Et je digère mal en plus dans un survival ces plans hideux de forets de synthese.
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- eric draven
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Taquin!!Machet a écrit :N'est-ce pas le but ultime de tout film d'horreur ? Pari réussi pour Wrong turn donc !eric draven a écrit : J'ai failli frisé l'arret cardiaque!![]()
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Prince-Of-Horror
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Pour ma part il n'y a véritablement pas photo . Wolf Creek est un survival tout à fait molasson et dont l'ennemi n'offre aucune tension , Wrong Turn est ce qui se fait peut etre bien de mieux en survival 2000' .manara a écrit :Quoi dire d'autre ? Je ne me suis pas ennuyé dans cette chasse à l'ado, sauf le premier 1/4 d'heure pendant la visite bucholique sur la route. Le reste est très jouissif, et en comparant on n'atteint pas le sommet de "Wolf Creek", film dans lequel le méchant avait une gueule assez banale finalement mais il se dégageait de ce film une plus grande sauvagerie. Pourtant on prend ces dégénérés marmonnant au sérieux et on apprécie particulièrement la scène de la tour qui se poursuit dans les arbres. Le problème est que la tronche des consanguins est tellement gore (et on y croit...) que les filmer plus ferait basculer le film d'une une sorte de pantalonade ridicule. Schmidt a la bonne idée de faire des plans assez furtifs comme dans "Monster Man" sauf dans la scène finale, et je trouve qu'il s'en sort bien. Si on ajoute que ces types déboulent la plupart du temps sans prévenir, à moins qu'on ne les repère avec des torches, on aura droit à de bonnes surprises à défaut de véritables frayeurs.
Les personnages sont assez inconsistants sauf le dernier couple qui donne au survival encore plus de raison de puncher, car ils ne peuvent compter que sur eux-mêmes.
Question scènes, on est servi même si ça manquera un peu de sang les ustensiles de boucher rempliront bien leurs oeuvres dans la maison; sinon les armes tranchantes feront le reste.
Donc pour moi évidemment inférieur à "Wolf Creek", et aussi à THHE2006 et même THHE2007 (même si dans ce dernier le film est trèèèès long à démarrer), mais on pourrait faire se rapprocher ce film plus de TCM boucherie oblige. Personnellement je préfère un survival dans un lieu confiné (grotte, mine, etc) plus qu'une véritable chasse à terrain découvert. En fait ce film se rapporte à plusieurs films dont "Delivrance" d'ailleurs cité si je me souviens bien. On remarque aussi le même procédé de heurt avec la faune locale que dans WC ce qui laisse présager que le séjour ne sera pas forcément agréable...
Pour résumer il vous fera passer une bonne soirée avec des sensations, mais ne réveillera pas votre instinct primal.
Re: WRONG TURN - Rob Schmidt (2002)
Vu a l instant et je dois dire que c est une petite pépite ............. de nullité .
Rien a garder , c est digne d un telefilm bien pourri .
J en vois parler de violence , d actions ... ben merde on a pas du voir le meme film là .
P.s : Desolé de deterrer autant de vieux topics mais en ce moment je rattrape un sacré retard ...
Rien a garder , c est digne d un telefilm bien pourri .
J en vois parler de violence , d actions ... ben merde on a pas du voir le meme film là .
P.s : Desolé de deterrer autant de vieux topics mais en ce moment je rattrape un sacré retard ...
Tutti "Fucking" Frutti !!
Chaque être humain a aisement les aptitudes a devenir un gros con ...
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