Ben meme pas, toutes les invitations ont été déclinées...Superwonderscope a écrit :ce soitr c'est gang bang dans le 92 dans la cave à melting pour ces paroles sacrilègesmeltingman a écrit : Ce gars a pris des leçon avec Paul WS Anderson dans la maitrise du "vessie=lanterne, si si !"...
ANNACONDAS
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- meltingman
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Not only does God play dice, but... he sometimes throws them where they cannot be seen - Stephen Hawking
			
						Alors, pourquoi je n'ai pas aimé "Anaconda" ? La réponse est par là :
http://emmanuel.denis.free.fr/films/anaconda.html
Pourquoi j'ai aimé "Anacondas" ?
D'abord, je ne trouve pas que le casting soit abominable. Le Noir rigolo est plutôt insupportable, mais les autres acteurs sont convenables, particulièrement le héros principal que j'ai trouvé très bon esprit. Ensuite, "Anacondas" fonctionne agréablement comme un film d'aventures de jungle de série B très classique, avec les péripéties imposées : attaque de crocodile, navigation dans les rapides, traversée de la jungle, découverte d'un village indien... je trouve que tout cela a du charme. Little met bien en valeur ses paysages exotiques. La séquence de la fin avec le nid m'a paru un dénouement plus convenable que celui du film précédent. Le fait qu'on ne voit pas beaucoup les serpents ne m'a pas tant géné que cela. La partie "Aventures" exotiques est favorisée sur l'horreur, alors pourquoi pas...
Par contre, c'est sur que je n'ai pas trouvé que ce film réinventait l'eau chaude. Comme on l'a vu, le personnage comique est irritant. Les SFX, même si ils sont moins catstrophiques que dans le film précédent, restent d'un petit niveau. Tout ça reste du spectacle sans surprise, bien que plutôt soigné. Sympa quoi !
Pour un revue uber-enthousiaste, on peut se reporter à la critique de Rurik Salé (si je me souviens bien) dans le dernier EF.
			
			
									
						
										
						http://emmanuel.denis.free.fr/films/anaconda.html
Pourquoi j'ai aimé "Anacondas" ?
D'abord, je ne trouve pas que le casting soit abominable. Le Noir rigolo est plutôt insupportable, mais les autres acteurs sont convenables, particulièrement le héros principal que j'ai trouvé très bon esprit. Ensuite, "Anacondas" fonctionne agréablement comme un film d'aventures de jungle de série B très classique, avec les péripéties imposées : attaque de crocodile, navigation dans les rapides, traversée de la jungle, découverte d'un village indien... je trouve que tout cela a du charme. Little met bien en valeur ses paysages exotiques. La séquence de la fin avec le nid m'a paru un dénouement plus convenable que celui du film précédent. Le fait qu'on ne voit pas beaucoup les serpents ne m'a pas tant géné que cela. La partie "Aventures" exotiques est favorisée sur l'horreur, alors pourquoi pas...
Par contre, c'est sur que je n'ai pas trouvé que ce film réinventait l'eau chaude. Comme on l'a vu, le personnage comique est irritant. Les SFX, même si ils sont moins catstrophiques que dans le film précédent, restent d'un petit niveau. Tout ça reste du spectacle sans surprise, bien que plutôt soigné. Sympa quoi !
Pour un revue uber-enthousiaste, on peut se reporter à la critique de Rurik Salé (si je me souviens bien) dans le dernier EF.
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Manolito a écrit : Les SFX, même si ils sont moins catstrophiques que dans le film précédent, restent d'un petit niveau.
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Effectivement, cette suite est un beau pétard mouillé mais je ne serais pas aussi direct qu’une bonne majorité des critiques car finalement ça reste de la série B de vidéo club. J’ai vu bien pire. Seulement voilà, après un opus super fun avec un anaconda vicelard, un Jon Voigt cabotin et des scènes bien barrées, il est difficile de trouver son compte dans le film de Dwight H. Little (officiellement déclaré pire réalisateur en fonction par moi-même).
Le pitch est sensiblement le même que dans le premier, une équipe de scientifique va dans la jungle, voyage en bateau et se fait attaquer par des anacondas. Nous avons droit à un casting certifié label rouge avec une belle brochette de têtes de veaux censé passer pour des biologistes. Je devais être le seul hilare dans la salle quand la blondasse nous parle de son doctorat alors qu’on l’a dirait sortit d’une mauvaise sitcom. D’un côté cet Anacondas, m’a rappelé les bisseries italiennes des années 80 sauf qu’ici les mots "gore" et "nichons" sont strictement prohibés, l’histoire de ne pas choquer les petits enfants venus voir le film. C’est dommage. Parmi les autres protagonistes, on retrouve le capitaine du bateau au passé trouble (Johnny Messmer, qui ressemble à un Guy Pearce qui aurait bouffé plusieurs boîtes d’anabolisants), la scientifique latino, sorte de croisement génétique entre J-Lo et Gina Gershon mais avec 1% du talent des deux actrices et enfin le sidekick black ultra speed, peureux, informaticien (important, tous les sidekicks du 21ème siècle sont informaticien) et surtout increvable. Celui-là, je vous promets, à côté Rob Schneider c’est Robert De Niro. Faut le voir débiter son texte plus vite de Chris Tucker. On passe le film a espérer qu’il finisse digérer au fond d’un estomac d’anaconda. Même pas ! Il est invulnérable : après avoir passé dans les anneaux d’un serpent (je rappelle pour les cancres du fond que l’anaconda est capable de vous faire exploser tous les os du corps), il se libère et s’en sort indemne. Trop balèze.
Je veux bien pardonner au film ses personnages crétinoïdes si Little nous offrait des serpents en plat de résistance. Mais en fait non. Sur la totalité du métrage, les anacondas prennent dix minutes maximums. Adieu la judicieuse utilisation d’animatroniques et d’images de synthèse du premier épisode. Dwight Little semble totalement peu concerné par ce qu’il filme puisqu’il oublie de nous montrer ses bestioles et quand il nous les montre… c’est la catastrophe. Les effets spéciaux semble dater du début du numérique, à côté les FX du film de Luis Llosa relevaient du photoréalisme. C’est aberrant, un téléfilm avec un budget dix fois inférieur aurait mieux fait. Et puis surtout, les anacondas ne ressemblent à rien. Au lieu d’un serpent c’est une sorte de dinosaure tout droit sorti d’un cartoon. Pffff. Je ne sais pas comment, ils se sont démerder pour faire un film aussi foireux avec un matériau aussi simple à exploiter. Ne vous attendez pas non plus à voir des effets sanglants, le film semble conçu pour être consommables pour tous les publics : pas effets chocs, pas de sang et des attaques limite en images subliminales. Anacondas est au film de montres ce que Hantise est au film de maison hantée : un acte de sabotage.
2/6
Si je mets une note aussi haute, compte tenu de mon avis relativement sec, c’est parce que je ne me suis pas spécialement ennuyé durant la projection et son côté nanar m'a un peu divertit. De plus, vous me connaissez, je suis très tolérant sur ce genre de production
 
			
			
									
						
							Le pitch est sensiblement le même que dans le premier, une équipe de scientifique va dans la jungle, voyage en bateau et se fait attaquer par des anacondas. Nous avons droit à un casting certifié label rouge avec une belle brochette de têtes de veaux censé passer pour des biologistes. Je devais être le seul hilare dans la salle quand la blondasse nous parle de son doctorat alors qu’on l’a dirait sortit d’une mauvaise sitcom. D’un côté cet Anacondas, m’a rappelé les bisseries italiennes des années 80 sauf qu’ici les mots "gore" et "nichons" sont strictement prohibés, l’histoire de ne pas choquer les petits enfants venus voir le film. C’est dommage. Parmi les autres protagonistes, on retrouve le capitaine du bateau au passé trouble (Johnny Messmer, qui ressemble à un Guy Pearce qui aurait bouffé plusieurs boîtes d’anabolisants), la scientifique latino, sorte de croisement génétique entre J-Lo et Gina Gershon mais avec 1% du talent des deux actrices et enfin le sidekick black ultra speed, peureux, informaticien (important, tous les sidekicks du 21ème siècle sont informaticien) et surtout increvable. Celui-là, je vous promets, à côté Rob Schneider c’est Robert De Niro. Faut le voir débiter son texte plus vite de Chris Tucker. On passe le film a espérer qu’il finisse digérer au fond d’un estomac d’anaconda. Même pas ! Il est invulnérable : après avoir passé dans les anneaux d’un serpent (je rappelle pour les cancres du fond que l’anaconda est capable de vous faire exploser tous les os du corps), il se libère et s’en sort indemne. Trop balèze.
Je veux bien pardonner au film ses personnages crétinoïdes si Little nous offrait des serpents en plat de résistance. Mais en fait non. Sur la totalité du métrage, les anacondas prennent dix minutes maximums. Adieu la judicieuse utilisation d’animatroniques et d’images de synthèse du premier épisode. Dwight Little semble totalement peu concerné par ce qu’il filme puisqu’il oublie de nous montrer ses bestioles et quand il nous les montre… c’est la catastrophe. Les effets spéciaux semble dater du début du numérique, à côté les FX du film de Luis Llosa relevaient du photoréalisme. C’est aberrant, un téléfilm avec un budget dix fois inférieur aurait mieux fait. Et puis surtout, les anacondas ne ressemblent à rien. Au lieu d’un serpent c’est une sorte de dinosaure tout droit sorti d’un cartoon. Pffff. Je ne sais pas comment, ils se sont démerder pour faire un film aussi foireux avec un matériau aussi simple à exploiter. Ne vous attendez pas non plus à voir des effets sanglants, le film semble conçu pour être consommables pour tous les publics : pas effets chocs, pas de sang et des attaques limite en images subliminales. Anacondas est au film de montres ce que Hantise est au film de maison hantée : un acte de sabotage.
2/6
Si je mets une note aussi haute, compte tenu de mon avis relativement sec, c’est parce que je ne me suis pas spécialement ennuyé durant la projection et son côté nanar m'a un peu divertit. De plus, vous me connaissez, je suis très tolérant sur ce genre de production

Ouah ! T'exagère un peu quand même, ou alors tu n'as pas vu "U turn" (tourné la même année qu'"Anaconda"). C'est vrai qu'après toute la médiatisation dont elle a été l'objet, on peut trouver le personnage énervant, mais cela reste tout de même une très belle femme.Tu parles, elle était moche comme un pou dans Anaconda, complètement insignifiante! Elle est devenue sexy en devenant une star. A la base, J-Lo n'a pas grand chose pour elle.
Madame à l'époque d'Anaconda :
http://us.imdb.com/gallery/granitz/0245 ... ifer%20(I)
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Ah donc je suis pas le seul à l'avoir vu! Je suis heureux!GhOsT a écrit :Dite on voit toujours la fameuse cascade qui coule a l'envers ?
Derriere chaque E.T se cache un PREDATOR!
http://scary-movies.forumactif.com/
			
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Je suis assez d'accord avec toi Zecreep pour dire qu'elle n'a finalement pas grand chose pour elle sauf que pour moi à l'époque de Blood and Wine dans sa tenue de gouvernante et plus tard dans U-Turn dans sa zolie robe abricot elle avait fait son petit effet je dois direFatalis rex a écrit:
moi ce que j'en dis, c'est qu'un Anaconda sans J-Lo, c'est pas un Anaconda (et inversement)
Tu parles, elle était moche comme un pou dans Anaconda, complètement insignifiante! Elle est devenue sexy en devenant une star. A la base, J-Lo n'a pas grand chose pour elle









